Neuromarketing
I. Les neurosciences
A. La neuroanatomie
B. La neurophysiologie : La multisensorialité
C. La neuroendocrinologie
D. La neuro-imagerie
II. Application des méthodes neuroscientifiques au Marketing
A. L'accroissement de la préférence de la marque
B. La mémorisation d'une annonce publicitaire
C. La maximisation de l'impact d'un message publicitaire
D. Les messages subliminaux
III. Le neuromarketing est-il l'avenir de la Publicite ?
A. L'approbation des Etats Unis
B. L'approbation de la France et de l'Union Européenne
C. Le libre arbitre est-il en danger ?
D. Les limites du neuromarketing
IV. Selon cette théorie le néocortex « pense », le système limbique « ressent » et le cerveau reptilien prend la décision d’agir ou non. Au niveau d’une application comportementale dans le marketing, l’impact sur le sujet est primordial, c’est pourquoi le cerveau archaïque est au centre de nombreuses recherches. Ce cerveau primitif correspond d’un point de vue neuroanatomique au tronc cérébral ; il est alors spécifiquement visuel étant directement connecté au nerf optique. Il réagit à des stimuli tels que des contrastes visuels ou sonores ; ce cerveau est attentif à ce qui est différent, se concentrant uniquement sur le début et la fin du message ; il est aussi sensible aux émotions extrêmes qu'elles soient positives ou négatives.
V. [...] En effet, vérifier la présence d’un chercheur en neuroscience au sein de l’équipe pour la caution scientifique est primordiale, la cohérence du prix et le temps que nécessite la prestation doivent être plausibles sachant qu’il faut 6 à 12 mois pour mener une étude sérieuse en neuromarketing et qu’un test coûte en moyenne 1000 dollars par personne testé dans un cadre de recherche privée. Le deuxième exemple concerne l’ouvrage : Neuromarketing le nerf de la vente, rédigé par Patrick Renvoisé et Christophe Morin. [...]
VI.
VII. [...] C’est pourquoi la mise en place d’une