Objectif : dialogue
1. acteurs et actions page 2
2. attributs et sources du pouvoir page 4
3. stratégie et rhétorique page 7
4. annexe 1 page 9
5. ANNEXE 2 page 10
6. références page 11
acteurs et actions
Dans les 3 travaux présentés au cours Com7201, le cas des enjeux et défis de la SDGQ ainsi que des designers graphiques en général a été fait. Nous avons vu que la SDGQ vit des problèmes de légitimité et fait face à des critiques de la part de ses parties prenantes saillantes, que les membres du CA de la SDGQ forment malgré tout un groupe homogène où règne la bonne entente et qu’en tant qu’association, elle entretient des liens dialogiques avec d’autres groupes et associations.
Dans le présent travail, l’accent sera mis spécifiquement sur un objectif : mettre en place les bonnes stratégies pour créer une série d’événements de dialogue dans des communautés locales de designers graphiques dont le vecteur commun est leur adhérence à Icograda et ainsi, contribuer à trouver des solutions à des enjeux professionnels communs. Je ferai donc une cartographie des acteurs impliqués, je ferai mon propre portrait en tant qu’actrice politique, par la suite je brosserai un portrait concis des sources de pouvoirs et des pistes possibles pour terminer avec un essai de rhétorique à l’intention du futur président d’Icograda. À ce titre, je suivrai donc à peu près les étapes préconisées par Gosselin et Bélanger (2005).
En réfléchissant aux défis réels et potentiels d’organiser un événement local et donc isolé, j’en suis arrivée à la conclusion que les questions qui préoccupent les designers graphiques québécois (travail spéculatif, manque de cohésion, hermétisme dans le partage des bonnes pratiques, etc.) étaient évidemment communes à tous les designers graphiques sur la planète. J’ai donc décidé (sans l’aval du CA, comportement politique potentiellement positif ) de contacter Brenda Sanderson,