Philosophie du 21 siecle
Les foules des esprits sociaux proclament les libertés économiques et politiques, mais sont ils vraiment libres ?la liberté du sujet vis-à-vis de soi même ou vis-à-vis de la société est une problématique qu’ont abordée plusieurs philosophes. Pour Nietzsche il divise l’homme en deux catégories ; un maitre et un esclave (qui fait partie du troupeau) et c’est la deuxième partie qui est la plus dominante, parce qu’elle est une masse conformiste et orthodoxe poursuivant la conduite et le commandement d’un maitre, cela ne signifie pas stricto sensu que le maitre est libre, vu que la plupart des maitre surtout dans leurs apparitions et dans le but de se maintenir ne font qu’appliquer ce que demande les « populaces » en outre, on ne peut jamais affirmez que tout maitre crée la morale mais plutôt la bonne morale qui offre la qualité du maitre .la seule solution nietzschéenne pour retrouver sa liberté est « la volonté de puissance »qui ne signifie pas seulement le pouvoir sur les autres mais surtout le pouvoir sur soi, une telle motivation est manifestée par l’autonomie ,la créativité et l’indépendance du surhomme.
A l’instar de la philosophie nietzschéenne La généalogie existentialiste se penche aussi sur la liberté vis-à-vis de soi en l’accordant avec la liberté des choix de l’individu et en le liant avec le sens de l’existence. L’être humain n’est pas programmé par nature ou par essence, « L’homme est condamné à être libre » proclamait Sartre, considérant que la liberté est la possibilité de faire des choix.
Quant à la philosophie psychanalyste, elle récuse la notion de l’autonomie et de la liberté du sujet. En se reposant sur l’idée que