Philosophie

443 mots 2 pages
a) Les dépréciations des immobilisations
Toutes les immobilisations peuvent se déprécier (seules les dépréciations des immobilisations non amortissables sont au programme). Une dépréciation est nécessaire si sa valeur à l'inventaire (en fin d'exercice) est inférieure à sa valeur d'acquisition.

b) Les dépréciations des comptes clients
Si un client (compte 411) connaît des difficultés de paiement, il convient à l'inventaire, selon le principe de prudence, de déprécier sa créance.
L'opération se fait en deux temps : dans un premier temps, il convient de passer le client (411) en client douteux (416) pour sa créance TTC ; puis le client douteux fait l'objet d'une dépréciation qui doit être équivalente à la perte probable.
Les créances douteuses (416) ou les créances ordinaires (411) définitivement perdues doivent sortir du patrimoine de l'entreprise : il faut comptabiliser la perte et récupérer la TVA payée à l'État (s'il a existé une provision sur cette créance, elle devient sans objet et doit donc être reprise).

c) Les dépréciations des titres immobilisés et VMP
Lorsqu'à l'inventaire la valeur des titres (titres immobilisés ou VMP) est inférieure à leur valeur d'acquisition (moins-value latente), il convient, selon le principe de prudence, de déprécier le titre à hauteur de sa moins-value.
Les titres immobilisés font partie au bilan de l'actif immobilisé au titre des immobilisations financières. Les VMP font partie au bilan de l'actif circulant (détention à court terme).
Sur une même année, les plus ou moins-values sur des titres différents ne se compensent pas. Les plus-values latentes ne sont jamais enregistrées (toujours selon le principe de prudence).
Chaque année, la dépréciation est réajustée en fonction de l'évolution de la valeur du titre. La dépréciation ou la reprise se calcule par rapport à la valeur du titre l'année précédente. La reprise éventuelle ne peut être supérieure à la somme des provisions précédentes. En cas de vente du titre,

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