population et mutation économique
Les nouvelles manières de produire des richesses modifièrent le mode de travail, les répartitions humaines, les rapports entre les individus, les manières de penser…
1/ Transition d’activité – transition sociale :
Fin du néolithique (Transition d’activité) :
Evolution des secteurs d’activité (Fce)
I
II
Prélever les richesses de la Nature
Transformer
1850
56 %
26 %
1950
26 %
35 %
2010
03 %
22 %
Texte 4 p. 57
Passage de la civilisation rustique vers la civilisation post-industrielle (« Tertiarisation »)
La « Fin des paysans » est la rupture la plus profonde ; les ± 80 % de la population liés directement à l’exploitation de la Nature n’y eurent plus d’occupation suffisante [Exode rural (Cf. Bécassine)], ceux qui demeurèrent agriculteurs n’y eurent plus d’autonomie.
Pp. 68-69
Farrebique (1945)
Biquefarre (1983)
La révolution industrielle a déjà modifiée la vie rurale : Lampe à pétrole, électricité, faucheuse 1830’s
Maisonnée (ustensiles, langage, activités…), les enfants apportent de la nourriture à la sœur couturière au village
Travaux des champs : horaires (se couchent avec le soleil)
Culture Eglise avant Vatican II, geste des fiancés, débat sur la place, apéritif local
Un pavillon (gazinière, Formica…) Devenu ouvrier et fils médecin
Tracteur Ford, 1910 Engrais chimique (superphosphate, 1870)
Télévision…), achat au supermarché , le pain vient de la ville…
Eglise moins peuplée, des voitures partout sur la place
Et nouveau classement des individus :
Passage des antiques Ordres aux classes sociales
La bourgeoisie ; « accoucheuse d’un monde nouveau » (K. Marx) :
Détentrice du capital
• Formée des anciennes familles de négociants, de banquiers (Sellière) et des nouvelles dynasties de « capitaines d’industrie » (Krupp, Schneider, Vanderbilt le roi du chemin de fer aux USA…). Ils ont consolidé leur position sociale en s’alliant à l’ancienne aristocratie, appauvrie par la perte