Protection nature et chasse
Une vague de froid succédant à une vague de sécheresse en Russie et de prélèvement excessif dans l’ouest de l’Europe on mis a mal la sous population de bécasse alimentant la France véritable plate forme de migration de l’espèce. Aujourd’hui il est indispensable de raisonner en terme de Développement durable pour l’espèce Bécasse du moins pour la sous population alimentée par le flux Feno Scandinave et le Flux Est Européen. L’existences de grosses population de bécasse dans le Sud Est de l’Europe et dans les Iles Britanniques prouve que si la population ne souffre pas en amont ou en aval d’une mortalité aigue l’espèce s’adapte très bien au conditions climatiques actuelles.
L’organisation de la chasse à la bécasse doit être adapté en fonction de l’espèce en non pas en vertu de particularismes locaux tels que ceux qui définissent actuellement la chasse Française.
Notre interlocuteur privilégié doit être le ministère régalien de la Chasse (En France le ministère de l’environnement ).
Nous devons nous appuyé sur :
- Une démarche scientifique que nous mettrons en place via notre réseau et même si cette démarche est en dehors des structures traditionnelles de la chasse.
- Une connaissance du terrain global avant, pendant et après la migration.
Via une demande d’évaluation précise des populations de bécasses pendant la croule et après nidification , Il faut s’organiser pour la mise en place un plan de chasse bécasse sur l’ensemble du pays comme il est pratiqué pour l’ensemble des espèces sauvages de type grand gibier.
Le PMA même national n’est pas pour nous une fin en soit. Il ne peut être qu’un outil d’éthique.
Une interaction avec d’autres pays d’Europe est nécessaire. Cette interaction n’as pas pour vocation de se réunir entre chasseurs de bécasses européens mais pour connaitre parfaitement la qualité des flux migratoires amont et aval.
La structure
Cette structure n’est pas antinomique aux