Proust, a l'ombre des jeunes filles en fleurs

2460 mots 10 pages
PROUST : A l’ombre des jeunes filles en fleurs,
Deuxième partie. * Fausse innocence : regard critique du narrateur. Mais avec recul ou déjà à l’époque. * Portrait de la princesse * Peinture société, les différences de rang. Image de la « digue » ? * Humiliation ? vécue comme telle ou pas ? * De l’interprétation des signaux, mimiques corporelles * Vide et plein : combler un vide. * Tentative maternelle/ ~maternante~.

Lecture Marcel Proust par lui-même, seuil 1961 : « Les gens du monde et le snobisme ».
Satire du snobisme. Mais Proust ne cache pas son propre snobisme. Talent d’observation de l’écrivain, qui lui permet d’esquisser portraits frappants.
→ ici un portrait en double teinte parce sympathie pour la princesse. Donne aussi sentiment d’exister.

→ attitude princesse est à la fois source plaisirs concrets et souffrance morale, affront. Ecriture pour annuler ressentiment, faire sortir et passer outre ?
→ la comparaison au service du réalisme
→ le discours direct rapporté : gage de réalisme, pas de transformation
→ mise en scène théâtrale :

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Passage de A l’ombre des jeunes filles en fleurs, tome de la Recherche. Proust présente rencontre de Marcel +gd mere et princesse.

* Comment la métaphore filée mise (progressivement) en place par un narrateur au regard critique permet-elle d’esquisser une satire de la société bourgeoise ?

I/ Présentation du personnage de la Princesse au travers d’une lecture de sa gestuelle par le narrateur
II/Mise en place de la métaphore filée : entre humiliation, flatterie et plaisirs.
La soi-disant neutralité du narrateur
III/Evolution mitigée de la métaphore : pitié du narrateur envers princesse qui éprouve le manque sous son titre

I/ Présentation du personnage de la Princesse au travers d’une lecture de sa gestuelle par le narrateur
→ prise de contact physique « Princesse de L »// « nous ». « Tendu la main » :

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