Psychomotricité
Dans le quotidien du praticien en psychomotricité, nous pouvons observer ses capacités rééducatives, émotionnelles, sociales et de communication avec le patient, il réadapte celui-ci à son propre corps en travaillant souvent sur son état psychique, il permet de lui faire recouvrir sa confiance en lui. La relation de confiance qui s’instaure entre le psychomotricien et le patient est nécessaire pour le bon déroulement des séances, et pour garantir au maximum des résultats bénéfiques. Le psychomotricien doit se mettre en accord avec le patient qu’il a en face de lui, et mettre en place un réel travail psychologique d’adaptation de ses méthodes avec lui, qui varieront selon les personnes et les troubles rencontrés.
Il a pour objectif d’aider des personnes atteintes de troubles psychomoteurs (comme des tics nerveux, des impulsions d’agressivité, des difficultés de concentration ou encore à se repérer dans l’espace et dans le temps…), moteurs (handicape de naissance ou suite à un accident, …), mentales (troubles pathologiques par exemple) Il va définir une technique de travail et tenter de rétablir ce qui fait défaut au patient (confiance en soi, troubles, équilibre, …) En résumé nous allons ici étudier quelle est la place de la psychologie dans le travail quotidien du psychomotricien? Pour cela nous parlerons dans un premier temps de la formation en psychomotricité, puis dans un second temps du métier de psychomotricien, en abordant mon projet professionnel.
La formation initiale se fait en école de psychomotricité et elle dure 3 ans, durant lesquelles une formation sur les différents champs dont se soutient la psychomotricité tels que le processus psycho