Rapport TIP 3
Réalisé par Cyrill Gysin, Kenza Kebaili et Moyra Pepe
Date de réstitution : vendredi 24 janvier 2014
TABLE DES MATIERES
1. INTRODUCTION :
Sénèque disait « Mourir plus tôt ou plus tard est indifférent, bien ou mal mourir ne l’est pas ». Déjà dans l’Antiquité, la question de l’euthanasie faisait débat. En effet, la civilisation grecque admettait l’euthanasie dans certaines circonstances. Plutarque préconisait l’infanticide chez les enfants qui n’étaient pas en bonne santé. Toutefois, Hippocrate citait « je m'abstiendrai de tout mal et de toute injustice. Je ne remettrai à personne du poison, même si on m'en demande, ni ne prendrai l'initiative d'une pareille suggestion ».
De nos jours, l’euthanasie fait toujours parler d’elle dans de nombreux pays comme la France où des personnes souffrant d’une maladie incurable quémandent couramment l’assistance au suicide. En Suisse, la situation est plus simple, il existe des structures qui accueillent et accompagnent des personnes souffrant de maladies incurables et qui décident de mettre fin à leur souffrance.
C’est sur ce sujet que nous avons décidé de travailler, car cela reste toujours un point délicat et tabou, même en Suisse. Nous voulions également mieux comprendre l’opinion de chacun, et le fonctionnement des associations comme Exit. C’est une question qui concerne aujourd’hui tout le monde.
Aujourd’hui, en Suisse, une nouvelle question se trouve au cœur des débats concernant cette pratique, devons-nous élargir les critères d’admissibilité d’assistance au suicide pour les personnes ne souffrant pas de maladies incurables, comme « les fatigués de la vie » par exemple ? C’est sur cette problématique que nous avons décidé d’axer notre sujet.
Notre méthode de travail a été tout d’abord d’établir un plan et de se répartir ensuite les tâches, nous étions plutôt autonomes les uns des autres, nous nous donnions simplement des