Resume analytique
DEVOIR 1
Présenté à
M. Serge Campagna
Cours d’Éthique et droit
Groupe 1
Collège Jean-de-Brébeuf
Département de Philosophie
1er février 2011
Dans son texte, s’intitulé Petit traité des grandes vertus, André Comte-Sponville dit : «La justice est à la garde, non des partis, mais des individus qui les composent ou leur résistent» (para.12). En effet, c’est les individus qui sauvegardent ou plutôt définissent la justice. D’ailleurs, Alain disait : «La justice n’existe point. […] La justice sera que si on la fait.» Celui-ci explique que la justice n’existe pas dans ce monde, il s’agit d’une théorie que nous avons prédéterminée. Alors, nous pouvons dire que la justice n’est qu’une pure invention par les humains, afin qu’ils puissent s’assurer une certaine forme d’égalité, donc la paix au sein d’un groupe ou parti, comme André Comte-Sponville le dit dans son texte : «la légalité, dans la Cité, et de l’égalité, entre individus.»(para.8). Cependant, il faut comprendre que la justice n’est pas déterminée par la vérité, ni par des valeurs ou une forme de moralité, c’est-à-dire que la justice est une forme d’autorité. Elle favorise les plus nombreux et les plus forts. Ce qui est la justice, est ce qui favorise le plus grand nombre de personnes, car en s’assurant de plaire un plus grand nombre de personne, la justice s’assure la paix et la sérénité de ce parti. Par conséquence, les humains diminuent les conflits et cheminent vers un état d’équilibre. La justice est une vertu, elle doit être débattue, c’est pourquoi, elle est susceptible de changer. En effet, la force peut faire tomber la justice, ainsi c’est la justice en tant que vertu qui doit être favorisée et non pas la justice en tant que légalité. La justice protège les autres vertus en préservant leur sens et leur valeur. Chaque individu doit défendre cette vertu. Donc si les individus d’un parti s’opposant à la justice dans le but de protège les vertus deviennent plus nombreux que ceux qui