Rédaction sur la fraude aux examens 2
Dans un premier temps nous verrons les différentes techniques de triches employées et dans un second temps nous verrons s’il existe réellement un moyen d’y faire face.
De nos jours, les moyens de triches ont évolué, ils sont passés de simples feuilles à une révolution technologique (Formulation maladroite et imprécise, à revoir) ; ou on trouve aussi de la corruption sur les examinateurs. (pareil, trop vague)
Premièrement, avant toute cette avancée technologique, il y a eu « les antisèches» qui consistaient à écrire ses cours en petits caractères sur la plus petite des feuilles possible de façon à la cacher au responsable de surveillance.
Aussi, certaines personnes se faisaient représenter par quelqu’un d’autre, de façon à bénéficier de la meilleure prestation orale.
Ou, pire, aller jusqu’à la corruption d’un examinateur pour passer une session d’examens, ce qui revient quasiment à l’obtention du diplôme. (phrase nominale, revoir sa construction grammaticale)
Puis, l’arrivée d’internet a engendré et influencé beaucoup d’outils technologiques.
Le Smartphone est l’outil le plus utilisé par les tricheurs, puisqu’il est multifonction, via des applications on peut tricher sous formes audio en enregistrant ses cours. On peut tout aussi bien tricher sous forme d’antisèches via l’application « bloc note » qui est le même principe que les vieilles antisèches , sauf qu’ ici l’écrit est numérique et une fois supprimé, il n’y a plus aucune trace. Mais la majorité des fraudeurs aux examens utilisent leurs Smartphones pour trouver leurs réponses sur internet.
D’autres, néanmoins font preuve d’originalité en essayant des