Résume roland barthes "sur la lecture"
"Sur la lecture"
Il précise dès l'introduction qu'il ne possède pas de compétence pédagogique et qu'il envisagera uniquement une lecture particulière "(comme toute lecture?)".
Il ne possède pas de doctrine de la lecture et est ainsi dans un grand désarrois qu'il va tenter de situer non pas de réduire.
1. Pertinence
Pour Barthes, la pertinence est "le point de vue sous lequel on choisit de regarder, d'interroger, d'analyser. Sans cela aucun e étude n'aboutit, il rappelle le piétinement de Saussure avant de décider que seul le sens était pertinent. Propp, quant à lui, a décidé de n'observer des contes populaires et autres récits que leurs formes et a pu ainsi fonder l'analyse structurale du récit.
Si il était possible de décider une pertinence sous laquelle interroger le lecture cal fonderait une Analyse de la lecture soit: Anagnosologie.
a) Cependant, il n'y a pas de pertinence d'objet. On peut lire des textes, des gestes, une image... le seul lien est une unité intentionnelle: "l'objet que je lis est fondé par mon intention de lire"
b) Dans le champ de la lecture il n'y a pas non plus de pertinence de niveaux car il est impossible de clore la liste de ces niveaux. Le sens est multiple à l'infini. "Il n'y a pas de contrainte structurale à clore la lecture: je puis aussi bien reculer à l'infini les limites du lisible, décider que tout est finalement lisible [...], mais aussi, à l'inverse, décider qu'au fond du texte, si lisible qu'il ait été conçu, il y a, il reste de l'illisible."
La difficulté à trouver une pertinence, fondatrice d'une Analyse de la lecture peut être due à un manque de génie ou à ce que l'im-pertinence est "congénitale à la lecture". Pour Barthes, c'est parce que "toute lecture est pénétrée du Désir (ou du Dégoût) que l'Anagnosologie est difficile", puisqu'elle ne s'accomplit pas là ou nous l'attendons par tradition récente, c'est-à-dire du côté de la structure. En effet, "la lecture ne