Résumé livre d'ernest renan

922 mots 4 pages
Ernest Renan nous dit tout d’abord que dans l’ancien temps, on pensait pouvoir appliquer à des villes de quarante milles personnes, les mêmes façons de gouverner que dans les petites institutions telles que Rome. Actuellement, l’erreur que nous commettons est de confondre race et nation.

Personne ne pourra jamais réussir à gouverner l’ensemble des nations pour en créer une universelle, chaque nation gardera son indépendance pendant encore des centaines d’années.
L’oubli est l’un des premiers facteurs de la création d’une nation car l’unité des peuples ce fait toujours brutalement et s’en rappeler créerait des tensions.
L’essence d’une nation est que tout les individus aient beaucoup de choses en commun et qu’ils aient oubliés certaines choses, or, certaines nations n’on presque rien en commun.
La nation moderne trouve donc son origine par une série de faits historiques convergents dans le même sens. Parfois réalisé par une dynastie, d’autre fois par la volonté directe des provinces ou encore par un esprit général. Une nation existe par elle même. On peut donc dire qu’une nation est avant tout une dynastie représentant une ancienne conquête. La France, à la fin de sa grande royauté à forte valeur nationale, a réussie à tenir sans ca.
La race des populations ne changent pas, on substitue au principe de nation celui d’ethnographie, ceci est une grande erreur. Des empires uniques on été composés des races les plus diverses. Cette considération ethnographique n’a donc été pour rien dans la création des nations modernes. Il n’existe pas de race pure, les pays les plus nobles sont ceux ou le sang est le plus mêlé. L’idée de race est prise dans deux sens très différents, dans un premier sens, la race à le même sens qu’en zoologie, elle indique une descendance réelle, une parenté par le sang. Dans un second sens, la race est quelque chose qui ce fait et ce défait. La constitution de l’Europe n’a pas tenu compte de la race et les premières nations Européennes sont

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