Saint-denys garneau et alain grandbois traitent, dans cage d’oiseau et ô tourments, le thème de la fatalité d’une façon similaire ?
Dès les premiers versets des deux œuvres d’Hector Saint-Denys Garneau et Alain Grandbois nous sommes confrontés à des attaques dures et sévères sur le vécu, la vie et la mort. Une grande lassitude nous atteint, un gouffre s'ouvre où peu d'espoir reste. Les deux poètes souffrent du même mal de vivre. Leur poésie est différente mais elle traite du même mal, de la même fatalité. Saint-Denys Garneau nous le démontre dans ce verset: «L’oiseau dans ma cage d’os, C’est la mort qui fait son nid» et Alain Grandbois nous le démontre lui aussi: «Vous possédez l’éternelle dureté des rocs , Et les adorables épées du silence ont en , vain défié vos feux noirs,» Nous pouvons nous demander si c'est l'héritage des auteur français à la mode de cette époque tel que Verlaine, Baudelaire ou Rimbaud, qui déclamaient tous sur la non-raison de vivre ou d'avoir de l'espoir. La fatalité du malheur semble inévitable et incontournable. La lecture des deux poèmes nous amène à nos premières découvertes des versets du Vaisseau d'Or d'Émile Nelligan qui déplorait une grande fatalité dans tout. Une finale où tous nous serons morts. Les deux poètes le démontreNT bien: «Il aura mon âme au bec. » déclaMe Hector Saint-Denys Garneau et «Pourquoi ces