I- Travail préparatoire

1) En France, durant l'année 2000, une enquête sur les conditions de vie a révélé que sur 100 individus, 81 d'entre eux lisent au moins un livre par an alors que leurs deux parents lisaient régulierement.

2) Le niveau de diplômes semble être la façon la plus appropriée pour expliquer les pratiques culturelles des adultes : il divise la population de manière plus précise, on peut donc classer les individus par diplôme ( cela permet de s'apercevoir, que plus la qualification et la durée de scolarisation sont importants, plus les pratiques culturelles le sont), alors que le niveau de revenu n'indique pas la culture de l'individu ( il peut être dans le 1er quartile de revenu et pourtant avoir fait de hautes études).

3) En effet, les parents ont une forte influence sur leurs enfants, on voit que seulement la moitié des individus qui ont eu des parents non-lecteurs lisent au moins un livre par an. Tandis que la plupart de ceux qui avaient des parents lisant régulierement lisent eux aussi (environ 4/5).

4) La socialisation est l'inculquation de toutes les normes et valeurs amenant un individu à s'intégrer à la société ou le groupe social auquel il appartient, afin qu'une entente et une homogénéité se crée entre les individus.

5) Un individu peut être amené à prendre goût à la lecture par ça famille de différentes façons. Premièrement, c'est l'influence des parents, on les prends comme modèles, on est plus facilement attiré vers la lecture si nos parents étaient lecteurs, de plus, le goût de la lecture se fait au fur et à mesure que l'on apprends des normes et des valeurs enfin on peut être attiré vers certains types de livres en s'identifiant à eux, c'est à dire que en fonction des différentes normes et valeurs inculquées on peut aimer certaines sortes de livres (en fonction de l'expérience, les échecs, les aléas de la vie...

6) La réussite scolaire des parents influe souvent dans celle des enfants, le capital économique n'est pas