Sociologie urbaine
Dans le texte numéro un, nous pouvons constater la cristallisation dans l’espace urbain. En effet, avant tout il y a la notion de l’image de manière générale comme étant primordiale. L’identité sociale se construit avant tout par rapport aux lieux de résidence. Ainsi, habiter dans les beaux quartiers de l’Ouest de Paris est forcément valorisant. Les beaux quartiers donnent l’image d’un certain mode de vie dû à l’organisation urbaine et les aspects architecturaux. L’espace contribue également à cette image. Nous observons la présence de boutiques de luxe et des boutiques « ordinaires ». Ces dernières sont Monoprix, boucherie ou salon de coiffure. Dans les beaux quartiers ces boutiques ne sont plus les même qu’en banlieue. Monoprix engage des « caddyboy » et les salons de coiffures deviennent des salons de thé. Le texte souligne également la façon de s’habiller dans les beaux quartiers. La personne qui vit dans ces quartiers doit se vêtir de manière élégante. Les personnes aux vêtements décontractées sont rares. Le personnel de service ou quelques ouvriers se font discret. Nous pouvons également constater l’éducation des enfants issus de beaux quartiers. Les enfants prennent plaisir à ce cadre vie. On voit également la distance entre les familles populaires et les familles aisées à Neuilly. Cependant, il y a toujours de la courtoisie. Nous pouvons dire alors qu’il y a cristallisation au niveau des objets, du cadre de vie et également de personnes. On peut dire que chaque chose est « à sa place ».
Texte 2 :
Dans ce texte il est question de la population ibérique dans le 16ème arrondissement de Paris. Avant tout, l’auteur précise qu’en France il n’existe pas de « ghettos ethniques » comme aux USA. Il n’y a donc pas de quartiers juif, arabe ou noir à Paris. Les édifices espagnols comme l’église ou l’école sont effacées, comme si elles voulaient se fondre dans le décor voire passé inaperçues. Les ibériques ne marquent pas leur présence dans les