Nous allons, à l’aide de plusieurs documents, nous demander pourquoi l’entraîneur affirme au garçon que sa décision de changer de spécialité va nécessiter un temps d’adaptation au niveau du métabolisme de ses fibres musculaires. Dans un premier temps, nous allons observer la coupe transversale d’un muscle squelettique observé au microscope optique x40. Nous savons que ces fibres musculaires ont été teinté, et que plus la coloration est intense, plus les cellules sont riches en enzymes mitochondriales. Et inversement, que moins la coloration est intense, plus elles sont pauvres en enzymes mitochondriales. On peut donc en déduire, que les fibres I sont riches en enzymes mitochondriale et que les fibres II en sont pauvres. Or, nous savons que les enzymes mitochondriales sont utilisées lors de la respiration, dont l’équation est C6H12O6 + 6 O2 6CO2 + 6H2O + énergie. Puisque l’on voit que chez les fibres I, il y a plus d’enzymes mitochondriales, on peut donc en conclure que celles-ci consomment plus d’oxygène et de glucose que les fibres II et donc qu’elles effectuent plus la respiration. Nous pouvons, pour appuyer cette théorie, utiliser les coupes longitudinales de la cellule musculaire du myocyte (fibre musculaire) I et celle de la cellule musculaire du myocyte II. Car nous voyons bien, à partir de ces deux coupes, une fois de plus, qu’il y a plus de mitochondrie chez les fibres I autour des myofibrilles (unité contractile du muscle) que chez les fibres II. Donc que les fibres I, consomment plus de dioxygène et de glucose que les fibres II, et donc qu’elles effectuent plus la respiration. Dans un second temps, nous allons mettre en relation ces données avec les différentes spécialités qui concernent le garçon, c'est-à-dire son ancienne spécialité, le sprint, et la nouvelle qu’il souhaite pratiquer, la course de fond. Pour cela, nous allons étudier un graphique montrant les deux types de fibres musculaires dans les muscles de sportifs en