Sujet de brevet
Julien 3°1
Note : | Observation : | Signature : |
1- Les quatre termes qui prouve de la présence de la narratrice sont : « il n’osait plus me raconter », « Je ne lui parlais plus de mes études », « à la différence de ma mère ».
Les termes sont des pronoms personnels (« je » et « me ») et des déterminants possessifs (« mes » et « ma »). 2- Le temps dominant dans ce récit est l’imparfait de l’indicatif. Il s’agit le plus souvent d’imparfait d’habitude.
Le récit renvoie au passé de la narratrice, à un moment où elle fait encore ses études. 3- Elle s’exprimait en langage familier (« prof », « bouquin », « dirlo » lignes 5 et 6. 4- Ce texte à la première personne dont la narratrice est, à la fois, le personnage principal et l’auteur C'est donc une autobiographie. 5- Les deux phrases sont à la forme négative. L’adjectif «incompréhensibles » est construit sur une forme du verbe «comprendre» à laquelle on a ajouté le préfixe : –in indiquant la négation, le contraire et le suffixe : -ible. Par conséquent, cet adjectif signifie «qui ne peut être compris ». Les relations entre la narratrice et son père sont difficiles. Il semble y avoir un problème de communication entre eux (« Il n’osait plus me raconter des histoires… Je ne lui parlais plus »). 6-??? 7- Le père de la narratrice a, en effet, des craintes à l’égard des études de sa fille : d’une part, il est persuadé que les études la renferment sur elle-même (« Il s’énervait de me voir à longueur de journée dans les livres… » l-6-7) ; ou encore il déplore le fait qu’elle n’a pas de vie sociale (« Une absence de vie à la fleur de l’âge » l-10).
D’autre part, il pense que les études sont une source de souffrance physique : elles rendent sa fille malade (« La lumière sous la porte de ma chambre lui faisait dire que je m’usais la santé.» l-7-8) Enfin, il pense qu’elles donnent lieu à une souffrance morale. (« Il avait parfois l’air de penser que j’étais