Synthese de corpus
Dans les trois œuvres étudiées la violence est toujours présente, mais traduite par de diverses façons. Dans le texte de Barbusse comme dans le tableau la violence est évoquée de façon très crue comme nous les expressions "étranglé" ou "au bout de leurs forcent", les couleurs rouges et noir dans le tableau ou les perspectives éclatées pour nous montrer la force de l'explosion. Le rouge au centre attire l’œil est nous montre le centre de l'explosion. Barbusse nous livre aussi une description fantomatique avec notamment un jeu de mot sur repose, mais aussi face cadavérique. Dans le texte de Céline en revanche la violence est évoquée sur un ton beaucoup plus burlesque, on y trouve des euphémismes et de nombreuses comparaisons parfois hyperboliques. Le bruit est également amplifié. L'horreur est aussi abordée dans les droits texte, mais de manière différentes selon chaque auteur Barbusse fait appel au champ lexical du surnaturel pour nous faire ressentir sa vision d'horreur. Les personnes ne sont plus humaines ce sont des "créatures". Dans le tableau l'horreur est traduite par la présence de plusieurs cadavres. Céline lui, nous fait partager sa vision de l'horreur de la guerre par le côté insensible du colonel il fait ressortir l’égoïsme des hommes au front mais ce côté insensible du colonel fait aussi ressortir la déshumanisation dans le texte de Céline. Cet homme ne réagit pas au décès de l'un de ces semblables il manque donc d'humanité. Dans son texte Barbusse lui nous montre à son tour la déshumanisation on mettant en avant un champ lexical de la déshumanisation "sous leurs cagoules", "déterminer l'identité de ses