Nous entamons ici la dernière partie de l’analyse du Tartuffe, qui est l’une des plus célèbres pièces de Molière créée en 1669, cette pièce dresse le portrait d’un faux dévots, Tartuffe, qui, en étant directeur de conscience, s’introduit dans la maison d’Orgon et tentera de séduire, Elmire la femme de son maître. Le passage qui nous intéresse plus particulièrement est le dénouement, on sais que le masque de l’hypocrite est tombé on apprend à l’acte V scène 7, que Tartuffe a obtenu du pouvoir et va s’en servir contre Orgon et sa famille en réclamant l’arrestation d’Orgon, comme traître au roi, mais coup de théâtre l’exempt venu pour emprisonner Orgon va finalement emprisonner Tartuffe, nous nous interrogerons donc en quoi le final de Tartuffe rend-il caduques les accusations de la cabale contre la pièce de Molière? Pour cela nous allons voir dans un premier temps une issue qui rend hommage à la clairvoyance du roi et dans un deuxième nous verrons une issue qui illustre la conception de genre de la comédie par Molière? Le roi n’avait pas été dupe du jeu de tartuffe, intervention in extremis d‘une entité supérieure et toute puissante qui va à l‘encontre de la règle classique de vraisemblance « Deus ex machina ». Coup de théâtre tartuffe se fait arrêté au lieu d‘Orgon…

Dans l’acte V scène 7, Tartuffe se montre insolence notamment lorsqu’il s’adresse à l’exempt et dans la manière dont il parle des reproches qui lui adresse Orgon et sa famille en les désignant par les thermes péjorativement connotés de la criaillerie, il met autant de zelle à se montrer serviteur du roi qu’il en mettait eu service de Dieu, donc il est faut son zelle est plus fonction de son intérêt que signe d’une véritable conviction, selon l’exempt le roi est infaillible, c’est-à-dire qu’on ne peut pas le tromper de plus les thermes « aveuglement », v.1915, « briller », v.1914 et « vive clartés », v.1919, font allusion au soleil et donc indirectement à Louis XIV qui est le