Taylorisme
Toyotisme : 0 stock, 0 défaut, 0 délai
Nouveaux ouvriers : coopératifs, participatifs, disponibles et doués d’initiatives pour anticiper les pannes, déterminer les défauts contrôler leur production. il y aura donc une qualité de la main d’œuvre.
Héritage taylorien : mode de production pas seulement matériel, il est aussi présent « dans la tête » des ouvriers et des cadres : difficile de changer les attitudes au travail. * Les ateliers d’OS dans les années 1970 : culture d’atelier : (rites, blagues, surnoms ...)
Utilisation du « Nous » c'est-à-dire le groupe d’ouvrier et le « Eux » : c'est-à-dire les fayots, les chefs, les cravates (les cadres). Le taylorisme : pas seulement l’organisation du travail, il a engendré un certain type de relation sociales. Début des années 1980 : l’entreprise tente d’introduire un nouveau mode de gestion. * Auto contrôle et auto surveillance : le français nécessaire pour lire les instructions. Contrôle dés la production alors qu’auparavant contrôle fait par le contrôleur.
Enrichissement du travail entraine un alourdissement au travail d’os : alternance de modèles différents (voitures). Occupation des ouvriers à regarder la fiche collée sur la caisse de la voiture pour effectuer un travail différent sur chacune d’entre elles « la chasse du temps mort » s’intensifie. L’autocontrôle oblige chaque à se sentir concerné par la qualité du produit fini et son propre travail. Réorganisation des équipes. Nouveaux postes : moniteurs (entre ouvrier et chef d’équipe) système de primes (primes individuelles et primes d’équipes : dans cette dernière si l’un effectue « mal » son travail toute l’équipe sera pénalisée. Cela entraine dans l’équipe une logique de