Textes complémentaire
Le pouvoir des fables : La fontaine dit au diplomate (celui-ci doit aller faire un discours pour éviter la guerre) que si il arrive à éviter la guerre avec les Pays-Bas il lui fait un sacrifice en attendant il lui offre une fable qu’il qualifie d’ « ansent » pour l’aider dans sa mission. La fable raconte une situation de guerre à Athènes et un orateur essaye de faire bouger les Athéniens, de les révolter. Alors il fait un grand discours mais personne ne l’écoute, ce n’est que quand il va le dire sous forme de comte que les Athéniens vont l’écouter. Alors il se « fâche » parce qu’ils voient que les Athéniens préfèrent écouter des histoires que l’histoire de leur ville. MORALE : critique des orateurs. Nous sommes tous des enfants et préférons tous les histoires aux textes sérieux. La fable est donc plus efficace que les discours. L.F dit donc à l’orateur de raconter une histoire pour négocier plutôt que des discours. MORALE DE LA FABLE C’EST LA FABLE
Discours de la servitude volontaire : « Nous » acceptons d’être soumis à un monarque. L’écrivain dit aux lecteurs d’arrêter de soutenir ça, d’arrêter de le vouloir. C’est de la faute des gens qui accepte le pouvoir d’un homme qu’il a le pouvoir.
Le prince : « Le fin justifie les moyens » Il vaut mieux être craint ou aimé pour rester au pouvoir. L’auteur dit que l’intérêt personnel prime sur l’affection donc se faire aimer ne sert à rien si quand il y a un problème les personnes avec qui on a de l’affection ne suit pas. Il vaut mieux être