Théories de la traduction
ORIGINES DE LA TRADUCTION
XVIII a.C. En Mésopotamie (Sumer et Akkadien), on a les premiers documents de traduction d'une langue à l'autre. L'oeuvre plus importante est l'épopée de Gilgamesh VI a.C. Le texte sacré : exode des Juifs à Babylone (où on parle l'Araméen), donc exigence d'une traduction en Araméen car les Juifs pendant l'exode ont oublié l'Hebreu III a.C. Exode des Juifs dans les pays de le Mer Méditerranée (langue parlée : le Grec), on développe un projet de première traduction grecque de la Bible, soi-disant « Septante » Les Grecs, convaincu de leur superiorité culturelle, traduisent peu À Rome, au contraire, on traduit beaucoup à partir du Grec Avec Cicéron on a une traduction libre du sens de l'original, pas traduction mot à mot Horace fait la mệme chose IV d.C. Saint Jérôme traduit la Bible en Latin, la « Vulgate ». Saint Augustin et autres critiquent sa traduction, mais il affirme que son maître est Ciceron et il traduit le sens Avec la chute de L'Empire Romain d'Occident (VIII d.C) on a des traductions arabes dans les califats des classique greques et latins : œuvre d'Avicenne et Averroès, traduire le contenu de l'original à la fin de le rendre compréhensible XIII : L'École de traducteurs de Tolède traduit de l'Arabe et les versions arabes du Grecs, ils travaillent en couple, un traducteur qui connait l'arabe et l'autre le latin et ils utilisent comme langue médiatrice la romance, le plus grand est Gérard de Crémone Moyen Âge : L'école de Séville, d'Alphonse X de Castille, ils traduisent du grec, nottament Aristote. En Italie Jacopo da Lentini récrit les modèles provençals et Dante affirme l'impossibilité de traduire la poésie, si on perd la forme on perd aussi