Tout d’abord, dans ce premier axe, nous verrons en quoi le Cyclope Polyphème a un rôle très important, qui est, principalement, antagoniste. Et de comment s’agit-il d’une représentation symbolique. En premier, on constate une opposition entre deux mondes, celui des humains, donc, ce qui mangent du pain, et celui des Cyclopes.
Une des différences est les coutumes de chaque monde. Par exemple, dans ce passage les hommes savent déjà utiliser l’agriculture tandis que les Cyclopes encore doivent s’occuper de ses brebis pour pouvoir se nourrir et vivre. On voit ceci dans le vers 122 : « Cette île ne connaît ni le bétail ni la charrue, mais, sans semailles, sans labours toute l’année, par l’homme désertée, elle paît les chèvres bêlantes. » En plus, ils ne vivent pas dans des maisons, mais dans des grandes grottes et antres : « Bientôt nous arrivâmes à son antre » (v. 216).
Ensuite, la différence principale est celle du physique. Les Cyclopes sont grands, « sa grande taille » (v. 257) ; forts, « soulevant un bloc énorme » (v. 240) ; avec des voix graves, « sa voix profonde » (v. 257) ; gros, et naturellement, avec un seul œil.
Puis, d’après les vers 130 et suivants, on constate une autre différence, les Cyclopes ne sont pas si intelligents que les hommes car ils n’ont pas sut profiter d’une terre si fertile et belle ni ont fait rien pour prospérer et agrandir leur royaume. Voilà donc des différences sociales et politiques. En plus, dans l’île des Cyclopes y règne l’anarchisme, il y a aucun souverain ni système politique, chaque Cyclope vit comme il veut, de son compte. Ils ne sont pas sociaux et n’aiment que vivre sa monotonie. Aussi, ils ne croient pas aux Dieux de les mêmes façons que les hommes.
De plus, les Grecs se sont toujours déplacés par la mer, mais les Cyclopes n’ont pas de navires, ni de connaissances maritimes. Ils ont été toujours dans cette île et ne connaissent rien du monde extérieur. « Les Cyclopes n’ont pas de vaisseaux rubiconds