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La jeunesse, la curiosité et la guerre
Leïla Sebbar, en écrivant la Seine était rouge a voulu présenter cette guerre entre l'Algérie et la France d’une façon plutôt unorthodoxe. Le fait de raconter cette histoire plusieurs années après qu’elle s'est produite nous permet …afficher plus de contenu…
Des femmes, des hommes, des enfants… J’aurais voulu voir Lalla et ma mère… tout le monde crie dans le cortège : ‘Algérie algérienne’, “Levez le couvre-feu” Ici nous voyons une énumération avec “des femmes, des hommes, des enfants” qui accentue l’importance de cet événement et montre comment tout le peuple algerien se révoltait.
Les points de suspension qui suivent après chaque phrase d’Amel montre comment elle perd presque ces mots en essayant d’imaginer la démonstration. Cela nous donne une impression qu’elle adopte un ton de fierté. Le lecteur est soulagé de voir comment Amel arrive enfin à se connecter à ses origines. De plus, la citation montre à l'audience …afficher plus de contenu…
La mère raconte comment elle s’est une fois retrouvée dans une situation très choquante et abominable. Elle explique “Elles pleuraient en silence, autour d’un corps allongé sur le trottoir, un jeune homme tué par balles.” Cette rétrospective est un résumé de la violence durant la guerre. Cette citation nous donne une image très triste de la guerre. Les larmes mélangées avec la mort crée une atmosphère sombre, accentuant la gravité de l'événement. Le lecteur ressent de l’empathie non seulement pour l’homme mort, mais aussi pour tous les Algériens qui doivent assister à cet événement tragique. Mais le fait que les femmes soient “autour” du corps peut aussi avoir un différent effet sur le lecteur. Ça nous donne une impression de solidarité, comme si tous les Algériens étaient unis, près à combattre cette