Valoriser ses messages
A l'heure de la mondialisation et des fusions-acquisitions, une bonne communication est fondamentale pour réussir sur les marchés extérieurs. Pourtant, les entreprises - et notamment les PME - estiment encore trop souvent que la traduction n'est qu'un moyen secondaire dans leur stratégie de développement.
Pourtant, donner d'emblée une mauvaise impression de la firme, distribuer une plaquette truffée d'erreurs, sont autant d'obstacles au développement des affaires.
Dans la jungle de l'offre des traducteurs, comment l'entreprise peut-elle dénicher la perle rare, susceptible de répondre au mieux à ses besoins ?
Pour sélectionner un traducteur, le bouche à oreille fonctionne bien. Autre piste : faire appel à des organismes spécialisés, comme la Fédération internationale des traducteurs (FIT) ; mais toutes les entreprises ne font pas appel à de tels organismes.
Depuis quelques années, afin de réduire leurs frais de traduction et en raison du développement d'Internet, la plupart des grandes entreprises externalisent leurs traductions.
De leur côté, les PME s'adressent, en général, à une agence de traduction, dont elles apprécient la rapidité et la polyvalence puisqu'en fonction de leurs compétences, les agences peuvent traduire aussi bien des documents sur la menuiserie que sur le nucléaire.
Si l'entreprise choisit de s'adresser à un traducteur libéral, elle doit sélectionner un spécialiste du sujet, seule façon d'éviter de lourdes erreurs.
Pour traduire leurs documentations, nombre de grandes entreprises recourent aux logiciels de traduction assistée par ordinateur. Ce sont des produits dotés d'une puissante mémoire qui enregistre le travail du traducteur humain, constituant une sorte de base de données réutilisable par la suite.
Des firmes proposent aussi aux clients des logiciels de "traduction automatique". Mais, en dépit des améliorations technologiques, il est clair que ces logiciels, aussi élaborés