Verlaine : croquis parisien
Le Croquis parisien est apparu dans le premier receuil de Verlaine, les Poèmes Saturniens en 1866. Le volume contient outre le prologue et l’épilogue quatre sections. Entre eux se trouvent les cinque poèmes des Eaux Fortes dont le Croquis parisien. Dans le commentaire nous allons démontrer comment le poète a inventé un poème gravé, comment il dépeint la ville moderne et nous essayons définir le style du poème.
Verlaine comme les autres les poètes et écrivains était fasciné par la peinture, qui est un source inépuisable pour les artistes. Comme Apollinaire ou Baudelaire il a aussi essayé exprimer ses sentiments par images qui évoquent des peintures. Selon Baudelaire: ”Le meilleur compte rendu d’un tableau pourra être un sonnet ou une élégie. L’eau-forte, le genre particulier de l’art graphique est une technique qui se caracterise en général par l’absence des couleurs, les contraste du blanc et du noir les lignes aigus, les conturs précis. Le Croquis parisien est un poème gravé par le champs de lexique, la sonorization et les métaphores qui évoquent l’eaux-forte. Il fait nuit, le paysage est obscur qui s’exprime par „les noirs” des hauts toit, par „le ciel gris”, couleurs et ton du blanc et du noir de l’eau-forte. Seul les „bleus becs” de gaz rompent cette obscurité. Les lignes des maisons hautes, „des toits pointus”, les angles sont aigues, la technique ne laisse plus. Les contrastes du noir et blanc mettent en relief l’image gravée et la ville apparaît sur le plaquet. Le champ de lexique égallement nous rappellent à la gravure: au métal par la métaphore, le „zinc de la lune”, à la plaque par le verbe „plaquait”, la verbalisation de la nom de plaque. La sonorization de la première strophe avec les „z” et „q” fit nous entendre les sons du stylet gravant sur une plaque de zinc. En lisant le Croquis parisien des images différentes se suivent, nous voyons la Paris