Victor hugot, les comtemplations
Nous évoquerons, dans un premier temps, qu’un nouvel art poétique, dans la poésie est mis en place, puis dans un second temps, nous analyserons la mise en œuvre de ses révolutions. I) Un nouvel art poétique dans la poésie
A) Un poète révolutionnaire
Dans le poème, le poète Victor Hugo est à la fois l’auteur, le metteur en scène mais aussi l’acteur principal. En effet, nous retrouvons la célèbre devise de l’auteur « Ego, Hugo », par l’utilisation et le rôle du pronom personnel « je » en début de vers, qui accompagne de nombreuses apostrophes et exclamations comme je vins / je m’écriais (vers 20) qui revient a diverses reprises à partir du vers 20. La répétition du pronom personnel « je », procure une certaine musicalité au poème. Nous pouvons l’imaginer, comme un brave, dévoué chef militaire, qui représente la littérature et qui de son souffle révolutionnaire va faire frémir les « bataillons d’alexandrins » (vers 24). Il défend également, les personnes opprimées. Nous pouvons constater une opposition de l’avant et de l’après, grâce à l’emploi de l’imparfait « vivaient » (vers 1) et du passé simple « je fis » (vers 25)
B) Un discours argumentatif
Ici, on a un plaidoyer de la nouvelle conception de la poésie romantique. A cette époque, on cherche à éliminer les mots familiers, les mots soutenus opposés aux mots du peuple. Dans les vers 1 et 2 «Les mots, bien ou mal nés, vivaient parqués