1787. C’est automne. Les arbres commencent à perdre les feuilles. Je suis au Château Petit Trianon. Avant moi, la toile se rempli des couleurs. Ma main fait le pinceau danser en petits X par tous. Sur la palette, les tons de blanc, jaune, carmin, terre de siene, beige et marron ont été disposé comme la peinture exigeait, comme la scénne allait rester pour tous l’éternité. Les longues rideaux accrochés sont roulés et ils sont attachés à côté de la pilastre à l’entrée de cette salle. Il y a un grand coussin blue avec arabesques en fils dorés sur le merveilleux tapis beige, où les roses et les feuilles verts se croisent en harmonie. Une chaise raffinée est à côté d’un berceau vide. Sur lui, une longue soie noire a éte élegantement posée. Au centre du tableau, la riche robe d’une femme a besoin de retouches de la magenta et du blanc pour acquérir la luminosité du velours. Cette femme est Marie-Antoinette, la reine de la France. Au premier rendez-vous avec la reine, je me suis sentie très timide. Sa beauté et magnificence rayonnaient. Mais sa gracieuse bonté a changé mes sentiments. En dépit de nos origines très différents, nous avons le même âge et nos histoires présentent quelques similitudes comme l’amour pour nos enfants. Les soins et la gentilesse qu’elle a pour ses enfants sont présents toujours. Même maintenant, quand ils sont retratés en la peinture. Elle ne néglige rien. Et a chaque rendez-vous, je lui rencontre plusiers de qualités. Peu à peu, sa petite fille Marie Sophie se montre sur les genoux de la mère en la peinture. Elle est une bébé. Elle porte une chemise longue et blanche, un constraste que s’harmonise en la composition. À la droit de la reine, il y a Marie-Thérèse-Charlotte, 9 ans, dans une robe carmin en tissu brilante, avec rendelles. – Pour cette première fille, le roi Luis XVI a offri le château Petit Trianon à la reine Marie-Antoinette, sa femme, comme un cadeau. Il avait dire : "Vous aimez les fleurs, Madame. J'ai un bouquet à vous