Violence

556 mots 3 pages
O.N.E.C.R. Observatoire National d’Étude des Conduites à Risques
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Ne pas jeter sur la voie publique

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Identification et risques des jeux dangereux
Les jeux de Par pendaison ou strangulation : non-oxygénation l’enfant peut se mettre en danger seul ou « aider » des copains. (Jeu qui consiste à freiner l'irrigation sanguine du cerveau par compression d'une artère qui conduit le sang à la tête). Les jeux d’attaque Violence physique gratuite menée par un groupe d’enfants contre un enfant seul ou contre plusieurs. Un coup porté au niveau du sternum PEUT couper l’irrigation du cerveau.

Pourquoi ?

La pratique de ces jeux peut répondre à la crainte d’être exclu d’un groupe, de décevoir les copains ou à un besoin d’assouvir une certaine curiosité ou encore à un besoin de sensations nouvelles, intenses et fortes.

Méfions-nous !
Les jeux d’attaque sont bien souvent confondus avec de simples bousculades (chocs, pichenettes) ; le signal de départ est extrêmement discret et peu ou pas perçu par les adultes.

La pratique des enfants en milieux scolaire et extrascolaire
45% de filles et 55% de garçons. 26 % des enfants de 7 à 17 ans se sont vus proposer ces jeux. Soit 2 millions d’enfants. 12% des enfants de 7 à 17 ans reconnaissent leur participation à ces jeux. Soit 1 million d’enfants.

Témoignage de la maman de Robin
Deux ans et demi après son accident Robin ne peut pas encore parler de ce qui s’est passé ce jour-là. Robin a joué à un jeu de non oxygénation pour rechercher des sensations fortes. Il pensait pouvoir contrôler son anoxie, malheureusement, il n’avait pas anticipé qu’il perdrait connaissance et que le poids de son corps prolongerait le manque d’oxygène du cerveau en entraînant un arrêt cardiaque. Il a passé 4 mois dans le coma et deux ans et demi

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