L’être humain reste le même dans les situations primitives ou dans les situations techniquement développées. i ne change pas de niveau par fait qu’il a appris à utiliser de meilleurs outils
« L’être humain, comme tel, reste le même dans les situations primitives ou dans les situations techniquement développées, il ne change pas de niveau par simple fait qu’il a appris à utiliser des outils plus performants. »
Nous sommes en hivers de l’année 2011, un homme doit subir une opération. Celui-ci va voir son médecin qui lui explique que l’opération est très sûre et se fait assez rapidement. Le médecin voyant son patient stressé tente de le rassurer en lui expliquant que la douleur est très bien contrôlée, que c’est l’histoire d’une semaine ou deux et que la durée d’hospitalisation sera d’environ trois jours. Mais malgré cela, l’homme a peur… Peur de la souffrance… Voire même peur de la mort si l’opération venait à échouer… Cette histoire arrive dans presque tous les cas d’opérations chirurgicales, et elle permet de prouver l’exactitude de cette citation: « L’être humain, comme tel, reste le même dans les situations primitives ou dans les situations techniquement développées, il ne change pas de niveau par le simple fait qu’il a appris à utiliser des outils plus performants. ». On peut prouver la justesse de cette phrase car on sait que depuis la nuit des temps, l’Homme a peur de la souffrance et de la mort, que ce soit dans un cas de blessure bénigne ou dans un cas de contusion plus grave. Même si toutes les techniques chirurgicales ont fortement évoluées, cette peur reste car la souffrance est une des bêtes noires de l’être humain depuis la nuit des temps et celle-ci persistera à jamais dans l’esprit des Hommes.
Cette citation fait réfléchir, elle permet de se poser plusieurs questions à propos de l’être humain… A-t-il changé? Dans quel cas aurait-il changé? Etc.
Suite aux évènements s’étant passés en Lybie durant le Printemps arabe, il me semble évident de démarrer mon analyse par les développements dans l’armement. Les militaires et les scientifiques, soutenus par leur gouvernement, créent des armes que nous ne pouvons plus