L'auto-da-fé
Dans le premier texte, « Pierre Ménard, auteur de Don Quichotte », l’auteur essaie de faire croire au lecteur que Pierre Ménard a réécrit Don Quichotte au XXème siècle d’une façon « plus subtile ». Il affirme, en ayant contemplé toutes les œuvres de Pierre Ménard, que « ce dédain indique un sentiment nouveau du roman historique. ». L’auteur parvient à nous faire croire que, bien que Pierre Ménard n’ait conservé aucun brouillon de - soi-disant - son œuvre, et que « composer le Quichotte au début du XXème siècle était presque impossible », l’ambition de Ménard était tout de même de « reproduire quelques pages qui coïncideraient […] avec celles de Miguel de Cervantès. ». Cela paraît insensé, mais c’est bien ce que prétend l’auteur. Le thème majeur de ce texte de Pierre Ménard est donc Don Quichotte.
Dans le premier chapitre de « Don Quichotte », par Miguel de Cervantès lui-même, l’auteur nous présente un personnage brave et farfelu qui se met à rêver grâce aux livres qu’il lit, et qui cherche à devenir un justicier ou un héros de livre dans sa vie réelle. C’est pourquoi il ira jusqu’à se créer un pseudonyme : Don Quichotte de la Mancha. Nous avons donc dans ces deux textes pour l’instant deux thèmes communs : Les livres, et l’œuvre de Don Quichotte.
C’est dans le troisième texte, « A un dîner d’Athées » de Barbey D’Aurévilly qu’apparaît un thème nouveau : l’église ; la religion chrétienne : « A