L'imposition en france
Par quel procédé David BECKHAM arrive-t-il à éviter de payer une trop forte imposition en France ?
Impôt sur le revenu et ISF: trop cher payé
En s'installant en France, la famille Beckham aurait payé plusieurs millions d'euros d'impôts en France et se serait retrouvée avec des charges supérieures à ses revenus.
En effet, sous l'égide de sa femme, le couple a monté depuis 10 ans un lucratif buisines autour de son nom De quoi permettre au footballeur de gagner entre 30 et 35 millions d’euros par an, contrats publicitaires inclus. En gagnant même une petite partie de ses revenus en France, soit les 800.000 euros mensuels en question, Beckham aurait ainsi dû s'acquitter d'un impôt sur l'ensemble de ces gains, y compris ceux gagnés hors de France. Il risquait par ailleurs d'être assujetti à l'ISF.
Pour s'en prémunir, le PSG lui aurait donc offert toutes les garanties d'échapper au statut de résident fiscal français: moins de six mois et un jour dans l'Hexagone, un domicile fiscal à Londres, et surtout un salaire dérisoire pour un footballeur de son rang: 11.000 euros sur 5 mois, quand Zlatan Ibrahimovic touche chaque année 14 millions d'euros net de tout impôt. Selon «Telefoot», l'Anglais aurait aussi négocié des royalties de 20% sur les maillots vendus à son nom, soit 22 euros par pièce. C'est moins que les 50% négociés à Los Angeles sur tous les produits à son effigie, mais s'il «faisait vendre» les maillots au même rythme que durant sa période madrilène, il récolterait près de 2,3 millions d'euros en cinq mois!
Passe-passe financiers
Un peu plus d'un an après un transfert avorté, le club de la capitale a donc trouvé la solution pour s'offrir une star médiatique de plus. Ce type d'arrangement se généralise dans les clubs Français, qui doivent ruser pour continuer à attirer des étrangers en Ligue 1, quitte à y mettre le prix. Face à une fiscalité française touchant plus fortement les hauts revenus, les têtes d'affiche