Nous avons pu voir que la musique antillaise puisant ses sources en majeure partie sur le continent Africain, durant l’esclavage. Cette musique a connue une évolution variante. Avec un début lent puis environ un siècle pour parfaire son intégration totale donc de l'abolition de l’esclavage à nos jours puis une suite assez rapide grâce à la diversification et à la multiplication de ces différents genres. En effet, plus de six genres musicaux comme: le Bèlè, la biguine et leurs différentes descendants, le zouk, la dancehall, ont pris naissance à la suite de cette période.

Par la suite nous avons pu savoir que différents supports ont étés inventés pour l'écoute plus facile de la musique, en passant de la bande magnétique au vinyle, de la cassette au CD, et du CD au baladeur numérique sans oublier la clef USB afin d'assurer un accès plus facile et adapté à une technologie en évolution, mais aussi l'évolution des artistes.
Pour ces artistes Antillais, il était plus facile de débuter sa carrière en sortant de leurs îles afin de propager leur œuvre dans l'hexagone et surtout pour bénéficier des aides accordés par les associations d’artistes de façon à améliorer et sécuriser leur évolution.

Enfin nous avons étudié le cadre social de la musique. Nous avons remarquer que celle-ci avait un accès restreint et difficile à une certaine période: celle de l'esclavage où les libertés étaient absentes et les classes sociales étaient complètements opposées. Mais que suite à l'abolition de l'esclavage et grâce aux avancements technique l'accès à la musique a dorénavant été plus facile et à permis le rapprochement des classes sociales et à effacé la rivalité qui existait entre celle-ci car la musique favorise de nos jours l'échange entre tous. La musique était donc un phénomène de stratification mais favorise de plus en plus la socialisation.
Elle a différentes fonctions, comme créer un lien social pouvant aboutir à une relation sentimentale, se reconnaître à travers des