L'économie de l'éducation
Obligation de l’état de donner accès à l’éducation gratuitement de 6 à 16 ans. Le choix de l’étudiant pour investir dans les études se fait après ses 16 ans. J’attends des bénéfices suite aux études que je vais faire : Hausse de salaire, emploi. Les études supérieures sont en lien avec le fait de trouver un emploi.
Les théoriciens du capital humain pensent que lorsqu’un étudiant décide de continuer ses études, il investit dans les études pour acquérir des bénéfices en termes de savoirs, de compétences, d’emploi et de salaire en comparaison à un bachelier.
Les coûts directs : droit de scolarité
Les coûts indirects : Transport, loyers, repas
Les coûts d’opportunités (l’argent qu’on ne gagne pas car on fait des études) : perte de salaire
Schultz (1961, 1954) : Théoricien de l’économie de l’éducation crée le lien entre la croissance économique d’un pays et la qualification.
La société, l’Etat, poussent les individus à être qualifié pour une bonne croissance économique du pays. Pour une compétitivité économique.
Capital humain : accumulation de connaissances et de compétences
Productivité marginale : Capacité de production d’un individu en un temps donné avec des moyens donnés.
Doeringer et Piore : scientifiques qui pensent qu’il y a 2 types de populations, les qualifiés et les non-qualifiés.
Théoricien (Levy-Garboua, Mingat) qui parle de la consommation de l’éducation et développe la théorie de l’éligibilité :
Les étudiants s’inscrivent à l’université pour deux raison : qualité de vie (temps de libre pour les loisirs), marché des élites (probabilité de bon métier)
Au 19è il existe 2 types d’école : école des élites (consommation = bien être) et école du peuple (investissement) selon Mingat.
La théorie du Néo-Classique est basée sur 5 hypothèses fortes (affirmation n’existe pas dans la réalité)
1) L’atomicité des agents : on estime qu’il n’y a pas de monopôle