Étude de cas Nora-Sakari Question 1: Est coentreprise la meilleure option pour Nora et Sakari afin d’attendre leurs objectifs? Oui, la coentreprise avec Nora est la meilleure option pour Sakari : (voir également le tableau Avantages de joint-venture Nora-Sakari, situé en annexe) 1. La motivation d’internalisation pour Sakari se traduit à travers l’interaction des forces de répulsion (économie des opérations et saturation du marché local) et l’attraction (industrie de télécommunication et les marchés asiatiques qui se présentent comme un potentiel d’exploitation significatif) ; 2. Les barrières d’internalisation ne sont pas négligeables. La croissance en mode organique par établissement d’une filiale à partir d’investissement direct est coûteuse et la possibilité de réussite est faible (voir le tableau des barrières d’internalisation, situé en annexe) ; 3. L’acquisition ne semble pas également être un bon choix : mise à part du coût élevé d’acquisition et la distance culturelle spécialement en matière de gestion, Nora n’acceptera pas d’âtre rachetée ; 4. La stratégie de l’entreprise pour les commutateurs est axée sur le client (ex. ses commutateurs sont compatibles avec le standard britannique utilisé sur les marchés asiatiques et adaptables aux besoins du client) ; 5. La stratégie de l’entreprise pour les commutateurs est axée sur les marchés. De plus, Sakari vise les marchés de niches (ex. SK33 se vend bien en Sri Lanka, en Émirats arabes unis, en Chine et en Union soviétique) ; 6. Étant donné que l’entreprise et sa marque ne sont pas reconnues sur les marchés asiatiques vis-à-vis ses concurrents directs, la JV semble être la meilleure façon d’entrer sur ces marchés. De plus, la JV est compatible avec sa stratégie et son modèle d’affaires afin d’entrer sur le marché étranger ; 7. Bien que Sakari n’ait pas d’expérience en JV avec les partenaires asiatiques, elle a tout de même des expériences en JV. Elle connait donc les principes et les manières de