Ethiopiques

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Résumé

Le recueil s’ouvre sur le poème « L’Homme et la Bête », qui symbolise le combat qui fait rage depuis la nuit des temps entre ces deux protagonistes. Porté par les rythmes africains, le poète célèbre l’homme qui se prépare à combattre « au rythme du tambour tendu de sa poitrine », et dont le corps devient un instrument de la pensée « qui lui ceint le front ». Entraîné par le rythme de la musique et de la danse, l’homme peut alors libérer toute sa force pour vaincre la bête, s’affirmant ainsi comme le « Dompteur ».

Le poème « Congo » qui suit est une célébration du grand fleuve africain où des instruments de musique traditionnels africains s’entremêlent au brouhaha de l’eau. Représentation féminine, cette même eau joue un rôle purificateur sur la terre d’Afrique, et le poète dit s’y soumettre.

Le poème intitulé « Le Kaya-Magan » se présente comme un poème d’autocongratulation. C’est ici l’ancien empereur du Mali qui parle du rôle fondamental qu’il joue dans son empire, qui s’étend « jusqu’aux limites du continent ». Ainsi, l’empereur se désigne comme le prote

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