11 novembre

hostilités, lui vaut d’être rappelé à la présidence du Conseil par Poincaré en novembre 1917. Désormais surnommé le « Tigre », il conduit, par son charisme et son énergie infatigable, le pays à la victoire et atteint l’apogée de sa popularité. À l’encontre de toutes les oppositions, il nomme Ferdinand Foch maréchal de France et place le commandement allié entre ses mains. À la signature de l’armistice, le 11 novembre 1918, le « Père la victoire » persiste dans son refus de tout compromis avec les

monument britannique en France, réalisé par l'architecte Sir Edwin Luytens. Ce "Memorial to the Missing" reste un véritable lieu de pèlerinage pour les Britanniques et commémore ce combat qui a eu lieu de juillet à novembre 1916 3) L' « Anneau de la Mémoire » inauguré le mardi 11 novembre 2014 dans le Nord Pas-de-Calais proximité immédiate de la nécropole nationale de Notre-Dame-de-Lorette, réunit dans une fraternité posthume près de 580.000 combattants venus du monde entier tombés sur les champs

ennemi. En effet la Russie signe les accords de Brest-Litovsk le 3 mars 1918, impliquant un désengagement total du conflit. Enfin, en 1918, faute d’alliés qui ont tous abandonnés le combat, l’Allemagne s’avoue vaincue et l’armistice est signée le 11 novembre 1918 à Rotondes, juste quelques mois après les accords de Brest-Litovsk. On estime que 70 millions d’hommes ont étés mobilisés de 1914 à 1918. C’est alors toute une génération d’hommes qui part au combat. Les ravages des batailles obligent à utiliser

aujourd'hui ; le 11 novembre 1918 , j'ai deux raisons de fête ce jour . Premièrement , la guerre , cette guerre qui décima ma famille entière , deuxièmement , aujourd’hui j'ai eu 18 ans . Mais je ne participerais pas aux festivités . Aujourd'hui , après 438000 respiration , je suis morte. C'est pour cela que je vais vous raconter ma vie ... Ma mère, Élisabeth Romy venait de se marier avec mon père Toma Dupont , elle n'avais que 16 ans, quand elle accoucha de moi le 11 novembre 1900. Mon frère Willy

La 1ère Guerre mondiale (1914-1918) Etude d’un monument aux morts : Saint-Beauzire Introduction : Au sortir de la 1ère Guerre mondiale, qui se termine par l’armistice du 11 novembre 1918, les différents pays belligérants entament des deuils nationaux. Le bilan humain est effectivement très lourd, en particulier pour les peuples ayant été au centre du conflit. La France totalise 1,39 million de morts, soit 17% de ses mobilisés, et les trois quarts des Français sont alors touchés par au

pas qu'on ne communique pas assez. On communique trop et mal. » ceci se démontreparfaitement à travers notre sujet. En effet durant la première guerre mondiale, période de quatre ans qui s'étend du 28 juin 1914 jour de l'attentat de Sarajevo au 11 novembre 1918 avec la signature del'armistice entre les allemands et les français, les moyens de communication représentent une donnée importante. C'est dans ce cadre que de nombreux moyens de communication se développe et se perfectionnenten grande partie

quand Monet prend la décision de les offrir à la France. Il le fait par une lettre à Georges Clemenceau, qui l’a soutenu tout au long de son entreprise et va s’employer à la faire aboutir. La date de cette lettre (le lendemain de l’armistice du 11 novembre 1918) et le nom du destinataire (à la fois l’ami du peintre et l’homme qui vient de conduire le pays à la victoire) donnent la mesure de ce geste consciemment historique. Il fait des Nymphéas un monument à la paix, la paix militaire, celle qui met

les tranchées. En 1948, on ajoute à la statue une date «1939-1945» car cette date montre les victimes de la seconde guerre mondiale. Pour la génération perdue, on a créé un ensemble parfaitement tragique où l’on peut noter une unité de temps, le 11 novembre devenu fête nationale en France en 1922, une unité de lieu, le monument aux morts et une unité d’action, la cérémonie com-mémorative. Le monument de Péronne est à la fois exemplaire et singulier par les sens qu’ils portent. Réalisé en 1922, il

responsables religieux rÈagissent et diffusent clandestinement des tracts appelant ‡ síy opposer. Alors que les autoritÈs díoccupation italiennes avaient fait preuve díune certaine clÈmence, les troupes allemandes qui envahissent la zone sud le 11 novembre 1942 aprËs le dÈbarquement alliÈ en Afrique du Nord, multiplient de 1943 ‡ 1944 les exactions, les perquisitions, les arrestations et les dÈportations vers les camps díextermination, particuliËrement celui díAuschwitz, centre de la plus gigantesque

23 février ; - le 14 juillet, une manifestation patriotique sur la Canebière est brutalement réprimée par des hommes de main de Simon Sabiani, qui tirent sur la foule ; - l’occupation de la "zone libre" par les troupes allemandes à partir du 11 novembre se traduit par l’instauration d’un couvre-feu et l’aggravation de la pénurie alimentaire. En 1943, les épreuves perdurent : - Une rafle suivie de déportations décime le quartier du Panier, lequel est ensuite dynamité par l’armée allemande