1368 Conseil De Sécurité

international, la résolution 1368 du Conseil de sécurité « Une attaque terroriste contre un pays est une attaque contre l’humanité toute entière », c’est ce que déclarait, au lendemain des attaques terroristes de New York, Washington et Pennsylvanie, M. Kofi Annan, alors Secrétaire Général des Nations Unies dans un discours devant le Conseil de sécurité. C’est d’ailleurs en ce 12 septembre 2001 que le Conseil de sécurité lors de sa 4370ème séance adopta à l’unanimité sa résolution 1368 ici étudiée. Cette

notamment à travers le Conseil de sécurité des Nations Unies. En effet, les quatre avions détournés par Al-Qaïda ont permis de toucher des lieux hautement symboliques des Etats-Unis - et plus généralement de l’Occident- ce qui avait ébranlé le monde occidental. Certes, ces attentats n’étaient pas totalement imprévisibles mais leur ampleur a particulièrement choqué la population mondiale et les images de ce jour hantent toujours les esprits presque 10 ans plus tard. Le Conseil de sécurité, organe principal

constitutif de l’Etat, le passage à l’action violente qui constitue un crime contre la Nation. « L'Organisation internationale des Nations Unies a été fondée en 1945, après la Seconde Guerre mondiale, par 51 pays déterminés à maintenir la paix et la sécurité internationales, à développer des relations amicales entre les nations, à promouvoir le progrès social, à instaurer de meilleures conditions de vie et à accroître le respect des droits de l'homme », elle « se consacre à un grand nombre de questions

Nataf Jérémie A travers l’étude des résolutions du conseil de sécurité, vous montrerez son évolution par rapport au terrorisme « Le terrorisme transcende les frontières nationales, et l’ONU est la mieux habilitée à trouver des solutions collectives pour traiter ce problème » (C.B. Strozier, directeur du Centre sur le terrorisme). En effet, lors du Sommet mondial des Nations Unies qui s’est déroulé entre le 14 et le 16 septembre 2005, plus de cent cinquante chefs d’Etat et de gouvernement

Le 11 septembre 2001 Dissertation : La réaction du Conseil de sécurité au 11 septembre « Le Conseil de sécurité, monstre ou victime ? », c’est ce que se demande Serge Sur dans Le Conseil de sécurité dans l’après 11 septembre. Ainsi, les différentes réactions de celui-ci aux attentats du 11 septembre 2001 méritent d’être analysées. Le 21 septembre 2001, quatre attentats-suicident furent effectués par Al-Qaïda aux Etats-Unis : des terroristes détournèrent quatre avions parmi lesquels deux furent

question que depuis ces attentats. La réaction a été rapide de la part de l’ONU (dont le siège se trouve d’ailleurs à New-York), figure principale de la réaction du droit international face à ces évènements, puisque dès le 12 septembre 2001 le Conseil de Sécurité des Nations Unies s’est rassemblé pour rédiger une résolution exprimant la compassion des Etats membres à l’égard des Etats-Unis et leur volonté plus forte que jamais de lutte contre le fléau qui a touché les Etats-Unis. En effet, le 11 septembre

juridiques suivies par les États, qui se fondent le plus souvent sur la Charte, même si elles l’interprètent parfois avec une grande liberté ; enfin, la politique juridique suivie par le Conseil de sécurité, qui dispose dans le cadre de la Charte d’une très grande liberté d’action – politique juridique, car le Conseil Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 41.217.143.242 - 23/05/2012 00h38. © P.U.F. 104 Dossier : Guerres et menaces de guerres 1 . QUELQUES SITUATIONS RÉCENTES DE RECOURS

institutionnelle qu’il a organisé. En effet, c’était le tour de présidence de la France en septembre dernier. C’est donc le diplomate en charge de la mission française qui a pris l’initiative de la Résolution 1368 [S/RES/1368 (2001)] adoptée à l’unanimité par les membres du Conseil de sécurité. Cette réponse institutionnelle s’inscrit dans une réaction humaine et instinctive, sans conséquence fondamentale sur le droit, contrairement à ce que les tenants mêmes ont pu affirmer. Ainsi l’ambassadeur Levitte

Alexandre 1er et du ministre des Affaires étrangères français, Louis Barthou, à Marseille, met définitivement à l'agenda des nations, en raison de l'échec de la coopération interétatique, la question de la lutte internationale contre le terrorisme. Le Conseil de la S.D.N. décida de créer un comité ayant pour mandat l'élaboration d'une convention internationale propre à assurer la répression du terrorisme. Les travaux de ce comité aboutiront en 1937 à Genève. La Convention pour la prévention et la répression

érythréens et égyptiens. Dans le cadre de ces attentats le Conseil de Sécurité des Nations Unies a du prendre des résolutions. Il y a par exemple la résolution 2625 XXV adopté par l’Assemblé Général en octobre 1970 relative aux principes du droit international touchant les relations amicales et la coopération entre les Etats conformément à la Charte des Nations Unies. Il y a aussi la résolution 1189 prise le 13 août 1998 ou le Conseil de Sécurité déclare que la répression des actes terroristes est essentielle