2 Juillet 1998 Chambre Criminelle

sociales protégées. C’est le fait exprès. Ex : lorsqu’une personne commet un vol, elle exprime une hostilité à la valeur sociale protégée par cette incrimination : la propriété privée. • On parle également de faute intentionnelle, de dol général. 2. Approche négative de l’intention • Le dol ne doit pas être confondu avec les mobiles qui sont les raisons pour lesquelles l’infraction est commise. Ex : on peut tuer une personne par jalousie, par vengeance, par amour (euthanasie), pour récupérer

Les Historiens et le Mémoires de la 2nd Guerre Mondiale Rappel : > Bilan humain : 550 000 morts dont 45% civils ( 160000 Déportés, 170000 soldats, 76 000 victimes des chambres à gaz, 40000 STO ) > La France vainqueur ? : régime de vichy... > Mémoires → plusieurs / parfois remisent en question comme JM LE PEN ( donc ces mémoires posent encore des problèmes aujourd'hui malgré le temps écoulé... ) → mémoires évoluent dans le temps, grâce aux travaux des historiens notamment I.

la procédure à proprement parler. La PP appartient au droit judiciaire car elle reçoit application dans les différentes phases du procès pénal. Elle est essentielle au droit pénal. Elle déclenche l’application des règles de droit pénal. SECTION 2 : les sources de la procédure pénale Paragraphe 1 : sources internes. On distingue généralement les sources formelles écrites des sources non écrites et matérielles. A) les sources écrites 1) la constitution La constitution de 1958 pose directement

raison de la spécificité de la population qui est concernée, c.à.d. population délinquante ou criminelle. Commettre une infraction traduit ce que les psychologues et sociologues appellent une mentalité antisociale ce qui permet le passage à l’acte, et qui permet de distinguer les auteurs d’infractions des autres personnes, ils parlent de déviance. On peut regrouper le droit pénal au sein des sciences criminelles, qui poursuivent l’objectif de lutter contre le crime et la délinquance. Elles proposent

lors qu’aucune décision judiciaire n’a suspendu ou interrompu cette mission ». Une seule limite : il faut que l’auteur du dommage se trouve sous l’autorité de l’établissement ou du centre au moment où il a causé le dommage : Cass. 2e civ. 25 février 1998 Les autres gardiens assurant une mission de surveillance ou de contrôle La Cour de cassation ayant écarté l’application de l’article 1384 al. 1 CC. aux gardiens personnes physiques ne disposant que d’un pouvoir de fait exercé bénévolement (cf

compétence à l'égard des personnes pour les crimes les plus graves ayant une portée internationale », tels que sont le génocide, le crime contre l'humanité et le crime de guerre. Son siège se situe à La Haye, aux Pays-Bas. La Cour est créée le 17 juillet 1998 suite à la signature du Traité de Rome à l'issue de la Conférence diplomatique de plénipotentiaires des Nations unies et définissant le Statut de la Cour pénale internationale. Elle a une existence légale depuis 2002. Au 1er avril 2009, 108

démontrait que cette enquête puisait sa légitimité dans les textes. Historiquement, on à un intérêt assez intéressant puisque l'on observe que très tôt l'enquête de flagrance à été réglementé (de l'ordonnance de 1670 au code de l'instruction criminelle), et ce retrouve régis par les articles 53 et suivant du CPP. Alors que dans un autre côté on a une consécration praeter legem, c'est à dire dans le silence de la loi. Elle fut légalisé pour la première fois dans le CPP en 1959 sous le terme d'enquête

délinquants ? La question du traitement des gardes La dépendance des gardes à l'égard des maires Réformer la police rurale : l'échec de l'embrigadement La formulation des plaintes L'action de la Chambre : l'exemple du député Félix de Saint-Priest Le refus du modèle militaire Conclusion Sous la monarchie de Juillet, les modes de vie liés aux usages communautaires sont battus en brèche. La revendication du droit absolu d'user et d'abuser de son bien, associée parfois à un nouvel esprit agronomique, conduit

compétent pour trancher les litiges entre les citoyens?  Mais avant de répondre à cette question, il est indispensable de s’interroger sur les principes qui gouvernent la justice au Maroc. I- Principes généraux du système judiciaire marocain 1. 2. 3. 4. 5. 6. Le principe d’égalité Le principe du double degré de juridiction Le principe de gratuité de la justice Le principe de la collégialité Le principe de l’indépendance de la justice Le principe du caractère contradictoire de la procédure

d’instruction A raison de leur complexité, les affaires ne sont pas parties directement devant la juridiction de jugement, une mise en état est nécessaire. C’est l’objet de la procédure d’instruction. L’instruction est obligatoire en matière criminelle. En revanche, facultative en matière de délit (dans ce domaine très peu d’instruction : 75% ne font pas l’objet d’instruction). En matière de contravention, elle ne peut avoir lieu qu’à la requête du procureur de la République (articles 79 et 44