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des interactions verbales, c'est précisément ce que font Didi, Gogo, Pozzo et Lucky. 2. Manipulations discursives Il s'agit ici de manipulations qui ont lieu au niveau du discours, c'est-à-dire au niveau de l'ordre, du choix des mots et expressions, de la juxtaposition de mots et expressions dans le langage des personnages. Nous observons les énoncés émis par les personnages sans tenir compte des conditions de renonciation. Ce qui nous intéresse ici, c'est l'aspect sémantique du langage des personnages

il y a une allitération qui contraste avec le ton puéril de l'enfant du vers 45 à 47. - il y a une énumération d'objets, de jeux, d'instruments comme « piano », « violon » ou encore « marelle », « pelle » du vers 34 à 41. - il y a aussi un jeux de mots avec « jouer » qui peut être interpréter de plusieurs façon comme pratiquer d'un instrument ou bien manier habilement comme jouer du couteau ou encore jouer a la maman pour un jeu de rôle. - la fin du poème forme une boucle. (vers 60 à 64) 2) Ce

votre visuel, et ainsi renforcer votre axe créatif en le mettant en scène de manière épurée, le plus souvent, afin d’obtenir un visuel graphique. L’EXPRESSION LITTERALE – utilise des expressions courantes, des métaphores, ou des combinaisons de mots qui peuvent générer des visuels humoristiques, des images absurdes, ou des situations paradoxales. Essayer de visualiser de manière littérale une idée permet de trouver un réel décalage, propice à l’expression du bénéfice produit. C’est bien souvent

n’importe quel individu, dans une telle situation. c) Dans ces 18 vers il va y un réseau lexical du mot tête (obsédant). Le mot tête est répété huit fois, réseaux lexicale : penser, songer, imaginer. Un autre aspect du réseaux lexical sont les mots qui se réfèrent à la fonction biologique : manger, mâchoire, les dents. Le lecteur suppose qu’il s’agit d’un sdf dont Prévert aurait probablement lu l’histoire dans un fait divers quelconque. Au vers 22 : La situation change à cause de la menace

JEUX DE LANGAGE A. Jeux de mots • registre comique : mort du cageot, paragraphe 3 • mots à double-sens : paragraphe 2, polysémie « terme » = mot // fin, but => mise en avant du caractère éphémère du cageot ; parodie de la poésie classique (caractère éphémère de la vie, de la rose, etc. ici : le cageot !) • mots proches / sonorités : « de la cage au cachot […] a cageot » • jeux de mots : « fruits […] moindre suffocation […] à coup sûr une maladie « : jeu de mots sur maladie = passion amoureuse

important d’assister à sa représentation afin de confronter son opinion à celui d’un metteur en scène. Cela permet de mieux cerner l’œuvre et l’aspect mis en valeur. Le message caché de l’auteur et du metteur en scène devient alors évident, les jeux de mots et les effets comiques sont mieux compris. C’est la combinaison des termes lecture et représentation qui donne le véritable sens du mot théâtre. L’un sans l’autre, la pièce ne serai pas rendue à sa juste valeur.

contraste fort qui existe entre François Ier et lui, en termes de puissance et de richesse. Ensuite le poète mettra en avant le fait que le roi est riche et puissant. Tout d’abord Marot soulève ce contraste avec humour notamment avec des jeux de mots tels que le néologisme « je m’enrime » (v.2) pour évoquer sa pauvreté ainsi que le fait qu’il ne gagne pas assez pour se loger. De plus, le poète évoque ses difficultés financières pour se nourrir, avec  la métonymie « Mon pauvre corps ne serait nourri

Nuit Rhénane Poésie Auteur : Apollinaire Introduction : Premier poème des neuf poèmes réunis sous le nom de Rhénane  ils se rapportent à la Rhénanie, Région d’Allemagne ou Apollinaire a travaillé en tant que percepteur dans cette région. Ce poème est d’abord peinture d’une scène de Taverne puis le poète opère le glissement sans doute à la faveur de l’ivresse. Nous allons voir comment ce glissement peut s’opérer tout en étudiant la vision de la femme et de l’art poétique. I. Une scène de taverne :

des élèves qui doivent répéter sans cesse la leçon. En revanche, les autres répétitions présentes dans le poème suscitent une forme de musicalité, comme si ce poème pouvait être chanté. 5. Pourquoi peut-on penser que « l’oiseau-lyre » est un jeu de mots ? On peut penser que le poète a choisi le terme « oiseau-lyre » pour jouer sur l’homonymie entre « lyre » et « lire ». La lecture apparaîtrait ainsi comme un moyen de s’évader de la monotonie. Par ailleurs, la lyre fait également référence à la poésie

donc dire que les membres du OULIPO créent des contraintes LA LITTERATURE OULIPIENNE EST UNE LITTERATURE SOUS CONTRAINTES On définit leur auteur comme "un rat qui construit lui-même le labyrinthe dont il se propose de sortir". Ce labyrinthe est de mots, de sons, de phrases, de paragraphes, de chapitres, de livres, de bibliothèques, de prose, de poésie, et tout ça... Je peux également vous citez Jean Queneau (zazie dans le métro Comme vous le voyez cette façon d’écrire est loin d’être courante