2001, l'Odyssée de l'espace

allait se confirmer avec « 2001,l’odyssée de l’espace », film événement et mythique. Kubrick était depuis toujours passionné par les questions touchant à l’éventualité d’une vie extraterrestre et, en 1964, il décida d’en faire un film. Le projet lui demanda plus de trois ans de recherches et de travail. Une semaine avant la sortie, le film était prêt. Quelques ajustements de dernières minutes après une préview et ce fut la fracassante irruption de « 2001, l’odyssée de l’espace » sur les écrans, le fracassant

l’écran ! Telle est la première réaction de Steven Spielberg sur le récit à partir duquel il travaille dès 1984 avec son compatriote Stanley Kubrick, et qui sous le titre A.I, Artificial Intelligence, sort enfin sur les écrans américains en juin... 2001 ! Clin d’œil du destin envers Kubrick, disparu en 1999 quelques semaines après avoir mis la dernière main à Eyes wide shut. Ayant acquis depuis 1982 les droits d’exploitation d’un court récit de science-fiction de la fin des années 60, Kubrick

contreplaqué moulé, Guariche travaille au ssi pour d'autres éditeurs, comme Airborne ou Minvielle.

 Le public appréciera de voir ou revoir la mythique chaise-longue Djinn (1964-1965) d'Olivier Mourgue, choisie par Kubrick pour son film "2001 l'odyssée de l'espace" sorti en 1968. Emblématique d'un esprit futuriste, cette pièce devenue culte est éditée par Airborne, pionner du siège moderne et confortable qui, dès 1959, fait équipe avec ce créateur. 

Autre exemple de collaboration, l'entreprise Roset

Roth qui eux offrent un univers fantastique pour permettre de rêver sur la possibilité que les événement se produisent. L'univers des livres de fiction est propice a l'évasion, les ouvrages semblables à l’œuvre de Arthur Charles Clarke :  2001 : l’Odyssée de l’espace et à Narnia de Clive Staples Lewis. La lecture peut permettre de ressentir plein d'émotions : de la peur avec des romans comme Nouvelles histoires sanglantes de Anthony Horowitz du rire avec Pourquoi j'ai mangé mon père rédigé par Roy

plus tard. Stanley Kubrik : réalisateur américain (1928-1999) majeur. Il a réalisé seulement 13 films dans sa carrière mais tous sont devenus des références, des films cultes. Principaux films : Les sentiers de la gloire, Spartacus, Lolita, 2001 l’odyssée de l’espace, Orange mécanique, Shining, Full Metal Jacket… ( Source : cinehig.clionautes) 5. 6. 7. A quoi voit-on que le film se déroule pendant la Première Guerre mondiale ? Pourquoi Kubrick filme-t-il en noir et blanc ? En combien de parties peut-on

coupe de l'arc rouge à l'arc vert a pour conséquence d'inverser la position des personnages sur l'écran. La caméra effectue une rotation de 180° pour passer d'un plan au suivant. La règle des 180° La règle des 180° est liée à la perception de l'espace dans une scène où des personnages sont en interaction. L'exemple typique est le champ-contrechamp. Si l'on trace une ligne imaginaire passant par les deux comédiens (l'axe des 180°), la caméra ne devra pas franchir cet axe pendant la scène. Le non-respect

U. Bellagamba, Le Space-Opera à l'IUT de Digne pour l'AMA '09 1 « La pédagogie de l'espace dans la science-fiction. Le space-opera, entre littérature et cinéma » par Ugo Bellagamba Conférence prononcée à l'I.U.T. De Digne, dans le cadre de l'Année Mondiale de l'Astronomie, le 16 septembre 2009. Introduction : Il était une fois l'espace et la science-fiction... Permettez-moi de commencer par une citation qui me permettra d'illustrer mon propos, de faire l'économie de définitions ennuyeuses

créer sa propre maison de production et pouvoir enfin contrôler le déroulement complet de la création d'un film, un luxe que très peu de réalisateurs peuvent se permettre. Après cinq années de préparation, il se lance dans la réalisation de 2001 l'Odyssée de l'espace, adapté de la nouvelle d'Arthur C. Clarke "La Sentinelle". Il utilise des moyens techniques qui vont révolutionner le cinéma de science-fiction. La fin mystérieuse et ouverte de l'adaptation de l'histoire de Clarke a fait couler beaucoup

selon Parker (Pink Floyd : The Wall - projeté par Nolan à toute l'équipe avant le début du tournage), la mégalopole urbaine et architecturale (Blade Runner), les couloirs rougeâtres d'appartements et l'apesanteur chez Kubrick (Shining et 2001 : l'odyssée de l'espace), l'inquiétante étrangeté de Lynch (Blue Velvet), les cercles vicieux et kafkaïens de Polanski (Le Locataire) - où la fin ramène inexorablement au début - et des scènes d'action échappées d'un épisode de James Bond. Malgré toutes ces citations

reporte en arrière et qu’on s’intéresse aux réactions suscitées sur le moment par les films de Kubrick, on s’aperçoit qu’ils furent tous, à l’origine, mal compris. Puis, au bout de cinq ou dix ans, on a finissait par se rendre comte que Barry Lyndon ou 2001 ou shining ne ressemblaient à rien de ce qui avait précédé ou suivi. » Kubrick : auteur souvent incompris, qui fait l’objet de multiples controverses, soit admiré, soit détesté, mais il ne laisse jamais insensible !  Il a une conscience esthétique