3eme Civ 28 Novembre 2001

Seuls les parents qui sont parents du premier et 2ème et 3ème degré ne peuvent pas se pacser. La parenté en ligne collatéral : sont les personnes qui ont un auteur commun (ex : frères et sœurs). Pendant longtemps le droit de succession distinguait entre les frères et sœurs germains (même père et mère), consanguins (même père, mère différente) et utérins (même mère père différent). Cette distinction a été abrogée par la loi du 3 décembre 2001. En raison du lien de parenté qui els unis, les parents

implicites, la personne privée est réputée agir directement « pour le compte de ». Ils ont été développés suite à la jurisprudence (CE sect. 30 mai 1975, Sté d’équipement de la région montpelliéraine, AJDA p.345 ; dont nous avons un exemple avec Cass. 1re civ., 30 sept. 2003, Synd. mixte pour la production de chaleur à Bondy doc.4 ICR). Nous trouvons par exemple des contrats en matière de travaux publics (TC 8 juillet 1963, Société entreprise Peyrot, D.1963 ; CE 2 juin 1961, Leduc, AJDA 1961 p.345) étendu

obligatoire. Art 1369-5, pour les contrats électroniques c'est la formalité du double clic. Cette extériorisation de l'acceptation pose problème en cas de silence, le silence ne vaut pas acceptation contrairement à l'adage « qui ne dit mot consent » (Civ 25 mai 1870). Pour la simple et bonne raison que le silence est toujours ambigüe et peut donner deux significations soit ou, soit non donc on ne peut pas admettre qu'il puisse emporter conclusion du contrat c'est assez utile face aux sociétés qui font

ce qui concerne les fusions et les scissions de sociétés, les lois sur les sociétés commerciales coordonnées le 30 novembre 1935, M.B, 21 juillet 1993 Loi du 8 juin 2008 transposant la Directive 2005/56/CE, M.B, Directive 2005/56/CE du Parlement européen et du Conseil du 26 octobre 2005 sur les Fusions transfrontalières de sociétés de capitaux, J.O.U.E, 25 novembre 2005 3ème directive 6ème directive Code de droit international privé, art. 113 Code des Sociétés, art. 76, 671, 682

UNIVERSITÉ LYON 2 Faculté de droit et science politique septembre 2013 3ème année Licence AES TRAVAUX DIRIGÉS DE DROIT SOCIAL (*) ORGANISATION DU CONTRÔLE CONTINU...............................................................................2 FICHE N°1 : MÉTHODOLOGIE................................................................................................. 3 Méthodes de travail...............................................................................................................

UNIVERSITÉ PARIS-DAUPHINE Institut Droit Dauphine LA SUBORDINATION FINANCIÈRE THÈSE Pour l’obtention du titre de DOCTEUR EN DROIT Présentée et soutenue publiquement par MEHDI BALI Le 26 novembre 2012 à 14h Jury Directeur de thèse : Monsieur François PASQUALINI Professeur à l’Université Paris-Dauphine Rapporteurs : Monsieur Jean-François BARBIÈRI Professeur à l’Université de Toulouse 1 Monsieur Nicolas MATHEY Professeur à l’Université de Paris 5 Suffragants : Monsieur Pierre-Yves GAUTIER

les droits qui sont énoncés dans la présente Convention et à les garantir à tout enfant". La Cour de Cassation en déduisait qu'il n'y avait d'obligation qu'à la charge des Etats et ne créait pas de droit au profit des particuliers. Arrêt Lejeune 1ère Civ du 10 mars 1993 bull. n° 103. Cette appréciation par les juges de l'intention des Etats partie est très fluctuante. Dans un arrêt du 18 mai 2005, la Cour de Cassation a opéré un revirement de jurisprudence, elle a jugé qu'au moins deux articles

précises, il faut dès à présent esquisser une définition de ce que l’on entend par « auteur » et « tiers ». L’auteur d’un acte juridique est celui qui Pour un dialogue sur ces questions voir O. PFERSMANN, « Contre le néo-réalisme », Analisi e diritto, 2001, pp. 231-284 (et Revue française de droit constitutionnel, n° 50, pp. 279-334). Puis la réponse de M. TROPER, « Réplique à Otto Pfersmann », Analisi e diritto, 2002-2003, pp. 297-314 (et Revue française de droit constitutionnel, n° 50, pp. 335-353)

diritto vivente. La giurisprudenza negli ordonamenti di diritto legislativo, Vol. I, Milan, Giuffrè, 2009, p. 15 et M. CAVINO, « Il precedente tra certezza del diritto e libertà del giudice : la sintesi nel diritto vivente », Diritto e società n°1, 2001, pp. 159-174. 3 Décision n° 110/1995 du 23 mars 1995, G.U. du 12 avril 1995. 1    En 1997, la Cour a franchi un pas supplémentaire en considérant que le droit vivant pouvait revêtir une force contraignante. Les juges de la Consulta ont justifié

lié au statut du mariage. On par le dans ces hypothèses de mariage simulé. Dans ce cas, le mariage encourt la nullité absolue : c’est une règle ancienne posée en 1963 par l’arrêt d’Akieto et réaffirmée avec beaucoup plus de fermeté dans un arrêt du 28 octobre 2003. Ce défaut d’intention conjugale se prouve lorsque les époux ne vivent pas ensemble après la mariage. Ceci a été important ces 15 dernières années avec les immigrations non contrôlées : les étrangers se mariaient avec des françaises et