3ème Civ 13 Juillet 1999

mariés font références aux personnes vivant en concubinage libre, organisé ou encore légalisé. Il faut attendre 1999, date à laquelle, le législateur les a introduit dans le Code civil. A cette date, apparaît la définition du concubinage et l’institution du pacte civil de solidarité (PACS). 3. C’est par une loi1 en date du 15 novembre 1999 et publiée au journal officiel, le 16 novembre 1999, que le législateur définit le concubinage. Le concubinage a désormais un statut légal. La loi reconnaît explicitement

laquelle, à la Faculté de droit de Montpellier, nous avons choisi d’étudier le droit des personnes et le droit de la famille¸ matières plus aisément accessibles que d’autres, comme le droit des obligations (2ème année), le droit des biens ou des contrats (3ème année), des sûretés, des régimes matrimoniaux ou des successions (4ème année). Cette progression sera étayée par un cours polycopié, diffusé en ligne. Chacun de ces polycopiés (il y en aura vraisemblablement six) sera présenté au fur et à mesure de

laquelle, à la Faculté de droit de Montpellier, nous avons choisi d’étudier le droit des personnes et le droit de la famille¸ matières plus aisément accessibles que d’autres, comme le droit des obligations (2ème année), le droit des biens ou des contrats (3ème année), des sûretés, des régimes matrimoniaux ou des successions (4ème année). Cette progression sera étayée par un cours polycopié, diffusé en ligne. Chacun de ces polycopiés (il y en aura vraisemblablement six) sera présenté au fur et à mesure de

relatives aux conditions objectives et d’autres aux conditions subjectives. a- Les conditions objectives  1-Conditions tenant à l’activité du banquier  Le législateur a réglementé cette question dans la loi du 10 juillet 2001 relative aux établissements de crédit ([10]). En effet l’art. 2 de cette loi dispose que“ Est considéré comme établissement de crédit, tout personne morale qui exerce, à titre de profession habituelle les opérations bancaires (parmi

la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789. Le conseil constitutionnel nous le rappelle dans sa décision n° 86-217 DC du 18 septembre 1986 sur la loi relative à la liberté de communication, et dans sa décision n° 94-346 DC du 21 juillet 1994 sur la loi complétant le code du domaine de l'Etat et relative à la constitution de droits réels sur le domaine public. Le conseil d'Etat le reconnaît dans son arrêt du 21 mars 2003, SIPPEREC (Syndicat intercommunal de la périphérie de Paris

née Dans cette période (entre CCL du contrat et échéance du terme), l’obligation est déjà née. Ceci constitue la différence la plus fondamentale qui sépare le terme suspensif de la condition suspensive. La Cour de Cassation (Civ.1) l’a rappelé dans un arrêt du 13 juillet 2004 en disant : « le terme est un événement futur et certain auquel est subordonné l’exigibilité de l’obligation ». Ce que sous entend la Cour de Cassation c’est que le terme suspensif diffère de la condition en ce qu’il ne

faute subjective. Ainsi, la loi du 9 avril 1898 relative à l'indemnisation des victimes d'accidents du travail, ou, plus récemment, la loi du 3 janvier 1968 qui a abandonné le principe traditionnel de l’irresponsabilité de l’aliéné, les lois du 5 juillet 1985 relative à l'indemnisation des victimes d'accidents de la circulation et du 31 décembre 1991 relative aux victimes de contaminations par le virus du sida à l'occasion de transfusions sanguines, ont choisi de rompre avec la faute comme condition

éléments essentiels du contrat. Ex : payer en plusieurs fois ne change pas le contrat. L'acceptation doit émaner d'une volonté éclairée, pour accepter il faut avoir connaissance de tous les termes de l'offre. La jurisprudence estime dans l'arrêt du 4 juillet 1967 que la clause affichée mais non précisée directement dans le contrat, n'est pas valable. Lorsque l'acceptant a connaissance avec certitude de tous les éléments des clauses du contrat on peut lui reprocher. L'acceptation n'est valable que si

Cour de cassation joue avec ce fondement en utilisant ici la volonté : elle avait déjà décidé d’indemniser et après elle trouve un fondement juridique. elle fait donc preuve d’un grand pragmatisme. Cette impression de pragmatisme est renforcée par Civ. 1ère, 7 avril 1998 (doc 10). La convention d’assistance bénévole n’a pas été retenue. La Cour d’appel a considéré que l’intervention était inopportune, elle n’avait servi à rien sinon à créer le dommage. Le caractère opportun de l’intervention ne devrait

baisse de ces activités sont subventionnées (pour éviter la surproduction). Ce 1er souci (de gérer la surproduction) se double aujourd’hui d’un souci de protection de l’environnement : loi du 9 juillet 1999. Ces soucis actuels ont fait l’objet de discussions au niveau européen : accord de Berlin de 1999 qui fondent la PAC sur deux piliers : * Pilier « aide aux productions et à l’organisation des marchés » * Pilier « aide au développement rural et à d’autres domaines » (pas de liste exhaustive