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en ce que le meilleur ait plus que le moins bon et le plus fort plus que le moins fort. Partout il en est ainsi, c'est ce que la nature enseigne, chez toutes les espèces animales, chez toutes les races humaines et dans toutes les cités ! » Platon, Gorgias, Ive s. av. J.-C. http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 561 Citation 571 L'Étranger : « Jamais une loi ne sera capable d'embrasser avec exactitude ce qui, pour tous à la fois, est le meilleur et le plus juste et

une volonté supérieure de néant pour l’homme qui s’affirme comme anéantissement devant la profusion et la richesse des choses. Des figures emblématiques de ce nihilisme furent évoquées au cours des temps notamment par Céline, Bakounine, Bataille, Gorgias et Netchaïev. Il est rassurant de savoir que même si, tel les Huns, l’herbe ne repousse jamais là où il passe, le nihilisme n’existe que par ce qu’il déstructure et anéantit révélant ainsi l’impossibilité d’existence d’un monde parfait. De ce nihilisme

définitivement perdu. Il y a un paradoxe énorme : les rhéteurs condamnent Socrate sous prétexte qu’il serait un manipulateur, or eux-mêmes pratiquent l’art de la séduction en toute liberté. Dans le Gorgias (dialogue de Platon traitant de « l’art de bien parler », mettant en scène Socrate, Gorgias et deux de ses élèves, Polos et Calliclès), un des thèmes abordés est la question de la justice : influencer les gens, les manipuler, est injuste, car c’est choisir de satisfaire son besoin de supériorité

à l'âge de quatre-vingts ans. III- Bibliographie de Platon : • Cratyle, ou De la Rectitude des Mots (Platon) • Apologie de Socrate (Platon) • Le "démon de Socrate" est une voix qui lui interdit de fuir après qu'il ait commis une faute • Gorgias, ou De la Rhétorique (Platon) • La République, ou De la Justice (Platon) Phèdre, ou De la beauté (Platon) IV- Résumé de l’Apologie de Socrate, Platon L’ Apologie de Socrate traite du plaidoyer de Socrate, lors de son procès à Athènes,

Devoir sur le Gorgias Entretien entre Socrate et Gorgias : 1) Pourquoi Socrate est-il réticent à qualifier la rhétorique d’ « art »? 2) Selon Gorgias, bien que la rhétorique ne produise aucun des biens rattachés à la pratique des arts, elle représente néanmoins le « bien suprême ». Pourquoi et en quel sens? 3) Le fait que la rhétorique serait surtout utile dans les milieux où s’exerce le pouvoir semble suggérer qu’elle produit le bien rattaché à la politique. Selon Socrate, en

supérieure de néant pour l’homme qui s’affirme comme anéantissement devant la profusion et la richesse des choses. Des figures emblématiques de ce nihilisme furent évoquées au cours des temps notamment par Céline[->32], Bakounine[->33], Bataille[->34], Gorgias[->35] et Netchaïev[->36]. Il est rassurant de savoir que même si, tel les Huns[->37], l’herbe ne repousse jamais là où il passe, le nihilisme n’existe que par ce qu’il déstructure et anéantit révélant ainsi l’impossibilité d’existence d’un monde parfait

mouvement de la pensée philosophique s’est divisé en deux grandes section. D’un côté il y a les philosophes dont fait partie Socrate et son protégé qui est Platon et de l’autre côté nous avons les rhétoriciens qui sont gouvernés par le grand homme qu’est Gorgias. Il faut faire attention de ne pas confondre ces deux mouvements de pensés car ils sont quasiment l’opposé l’un de l’autre. Fait à noter, il ne fait surtout pas mettre les rhétoriciens et les sophistes « dans le même panier » sans aller dans le fin

A) Première partie. Socrate et Gorgias : la recherche d'une définition de la rhétorique Cette partie est consacrée à la quête d'une définition de la rhétorique: cette dernière est ouvrière de persuasion et de croyance, parfois vraie et parfois fausse. En particulier, Gorgias fait l'éloge de la rhétorique, cet art d'apporter le pouvoir. La rhétorique est toute-puissante. Socrate veut réfuter les thèses de Gorgias; obligé de convenir que la rhétorique est subordonnée à la science morale. Polos

pythagoriciens, notamment auprès d’Archytas à Tarente. Il entreprend par la suite une carrière de philosophe et prodigue ses connaissances dans l’académie qu’il fondât. L’auteur compte à son crédit plusieurs publications dont L’Apologie de Socrate, Criton, Gorgias et plusieurs autres. L’œuvre de Platon, il s’agit de vingt-huit Dialogues ainsi que de treize autres dont l’authenticité est plus ou moins douteuse. Il existe, en outre, treize Lettres, dont trois (VI, VII et VIII) sont généralement reconnues comme

fait elle s’oppose à la sophistique, qui par l’art de la rhétorique et de la persuasion exerce une manipulation qui cherche l’efficacité. Nous pouvons nous demander en quoi le dialogue implique-t-il une contrainte ? Dans le dialogue platonicien Gorgias, Socrate impose une contrainte à son interlocuteur, c’est la réfutation. Celle-ci est une exigence qui permet d’atteindre l’essence intelligible tout en se libérant du sensible. Ce texte se divise en trois parties. Premièrement, de la ligne 1 à