8 Juillet 2004 Cassation

la désertion, etc... Tentatives d'abolition avortées : 1906 - 1908 Le procès était une étape crucial dans le sort d’un accusé dans la mesure où ni lui ni le ministère public n’étaient habilités à faire appel de la décision, le pourvoi en cassation basé sur la forme était le seul recours judiciaire. Sinon, la composition et le fonctionnement de la cour d’assises était le même qu’aujourd’hui. Trois magistrats et neuf jurés tirés au sort était habilités à prendre la décision fatale, mais l’avis

unissant l'enfant à ses parents ou un seul d'entre eux. La loi ne distingue plus aujourd’hui entre filiation légitime et filiation naturelle. Filiation légitime → Filiation de l'enfant né de parents mariés entre eux. L'ordonnance n°2005-759 du 4 juillet 2005 a gommé de du corpus législatif les notions d'enfant naturel et légitime afin de parfaire l'égalité entre les filiations. Filiation naturelle → Filiation de l'enfant né de parents qui ne sont pas mariés entre eux. - Lien collatéral = germain

I) L’analyse Les faits a) Les faits matériels : 11 janvier 1991 la société lebasnoyer conclut un contrat de bail commerciale avec la société casto pour une durée de 12ans, le loyer est fixé à 6millions d francs Le 1 juillet 2000 le loyer annuel est porté par 7millions francs par le jeu... adoption en cour d’instance de la loi n°... 2) Les faits judiciaires : La société castorama demanderesse assigne en révision triénale du loyer devant une juridiction de 1ère instance inconnue date inconnue

propriété d’un bien n’a pu être établie, ce bien sera partagé à égalité entre les époux. La jurisprudence de la cour de cassation retient que la liquidation et le partage des intérêts matrimoniaux des époux doivent être ordonnés par le juge qui prononce le divorce et ce, quelque soit le régime matrimonial adopté par les époux. En conséquence, encourt la cassation l’arrêt de la Cour d’Appel qui déclare sans objet une demande de liquidation de la communauté aux motifs que les époux

autre domaine qui relève du domaine de la modification du CT, quant à ce domaine, ne peut être modifié unilatéralement par l’employeur, il doit avoir l’accord du salarié. Le démarquage de la limite entre les Deux domaines est difficile. Avant 10 juillet 96, la jurisprudence distinguait entre modification substantielle et non substantielle du CT. Substantielle relevait du domaine de modification, du domaine contractuel. Et ne pouvait produire des effets à défaut d’accord par le salarié, alors que

texte de portée générale concernant la validité de la clause de non concurrence en droit du travail, la jurisprudence a ,dans un premier temps, subordonné la validité d’une telle clause à la seule exigence de limitation (Chambre civile de la Cour de Cassation, 26 Mars 1928) : « que la liberté du travail et du commerce peut être valablement restreinte par les conventions des parties, pourvu que ces conventions n’impliquent pas une interdiction générale et absolue, c'est-à-dire illimitée tout à la fois

ne constitue pas un trouble discriminatoire illicite au sens de l'article L122-45 du Code du travail. Document 2: _ Accroche Cour de cassation, Chambre sociale, 3 Juin 2009 _ Les faits M.Habti et M.Krifa, salariés de la société Oise protection, étaient, chargés des fonctions d'agents vidéo au sein du magasin Carrefour. Par courrier du 4 Octobre 2004, le nouveau chef de sécurité du magasin a exigé le port de la tenue réglementaire par les agents de la société. Ces deux personnes ont reçu

la possibilité de signer un pacte civil de solidarité (PACS) ou de s'établir en concubinage. Cependant, l'un et l'autre n'offrent pas les mêmes garanties juridiques que le mariage civil. Sommaire [masquer] 1 Chronologie 1.1 1999 : PACS 1.2 2004 : mariage de Bègles 1.3 2008 : affaire Minvielle 1.4 2010 : décision de la Cour européenne des droits de l'homme 1.5 2011 : décision du Conseil constitutionnel 1.6 De 2009 à 2013 : des débats politiques à la loi 2 Loi de 2013 ouvrant le mariage

La supra légalité pénale. * la loi doit respecter les normes supérieures à elle : les traités, la constitution, le bloc de constitutionnalité. * CCel, 2 mars 2004 (document 1) : Article 6 de la DDHC : « La loi est l’expression de la volonté générale… Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse… ». Article 7 de la DDHC : « Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu’elle a prescrites… »

aussi des infractions d’imprudence et de négligence. - Les infractions intentionnelles : le vol, l’abus de confiance, les appels téléphoniques malveillants, les violences volontaires ayant entraînées l’ITT (incapacité totale de travail supérieur à 8 jours : 3 ans d’emprisonnement, 45 000 euros d’amande). - Les infractions d’imprudence et de négligence : entraînent 2 ans d’emprisonnement. Les contraventions. Il s’agit de simples peines d’amande, il n’y a pas d’emprisonnement. Il existe 5 classes