Atheisme

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. Le critère ici est celui de la certitude : l'athéisme n'exprime en rien la force s'il est buté d'avance dans une certitude facile. En ce sens, ce n'est pas la foi qui est faible mais la certitude : un foi trop certaine est aussi suspecte qu'un athéisme trop sûr de lui. Spinoza oppose foi et philosophie, tant en ce qui concerne leurs fondements que leur finalité. La foi repose sur la révélation et viseà l'obeissance, et non à la vérité : l'écriture ne condamne pasl'ignorance mais l'insoumission

a été membre du club des Jacobins. -il a écrit les cahiers de doléances & il a participé à l’écriture de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen. -il s’est fait guillotiner car il voulait instaurer une religion civique, combattait l athéisme et a instauré la Grande terreur en empéchant les accuséès de se défendre 6) BILAN Robespierre était un homme politique important qui est une des principales figures de la révolution mais

religieuses — l’État devant rester neutre — et garantit la liberté de culte (les manifestations religieuses devant respecter l’ordre public) ; il affirme parallèlement la liberté de conscience et ne place aucune opinion au-dessus des autres (religion, athéisme, agnosticisme ou libre-pensée), construisant ainsi l’égalité républicaine. À travers la laïcisation de la société, il ne s’agit pas pour la République de combattre les religions, mais d’empêcher leur influence dans l’exercice du pouvoir politique

L'homme sait qu'il mourra et cette connaissance et angoissante (c'est lafinitude de l'homme qu'on oppose à l'infinité de dieu) Y a t'il quelque chose après la mort? Nietszche « c'est peut-etre dans la peur qu'il faut chercher l'origine des dieux » Athéisme: etre contredieu, je sais qu'il n'existe pas. Agrosticisme : reconnaît les limites des connaissances humaines au sujet de Dieu ne pouvant rien savoir de ce qu'est dieu,l'agnostique ne prend pas parti. Lefidèle : il est confiant en l'existence de

affaire entre le ciel et moi, et nous la démêlerons bien ensemble, sans que tu t’en mettes en peine ». *Quelques repères concernant le personnage* de Dom Juan Dom Juan se moque de la religion il démontre son athéisme absolu. Il ne croit qu’à l’arithmétique. Son athéisme a des formes prudentes, mais il est définitivement assuré. Mais Dom Juan a aussi d’autres visages : celui de l’hypocrite et celui du séducteur. Nous pouvons constater dans cette scène la profession de foi du séducteur

la proximité du plus grand des réalistes (ex ungue Napaleonem « par la mâchoire (on reconnaît) Napoléon »), enfin, et ce n'est pas la moindre de ses gloires, un athéisme sincère qu'on rencontre rarement en France, pour ne pas dire presque jamais (...) Peut-être suis-je même jaloux de Stendhal. Il m'a volé le meilleur mot que mon athéisme eût pu trouver : « La seule excuse de Dieu c'est de ne pas exister.»[4],[5] » Dans Le Rouge et le Noir, Julien Sorel fait l'objet d'une étude approfondie. Ambition

avance pour devancent son l’époque, mais aussi la liberté de pensée et d’expression. Alors, le fait que Dom Juan propage son libertin envers les femmes, il est donc considéré comme étant un hypocrite. D’autre part, ce personnage proteste également son athéisme durant l’histoire de cette pièce de théâtre. En effet, nous pouvons remarquer qu’à la scène 2 de l’acte 3, Dom Juan prononce la réplique « [v]a, va je te le donne pour l’amour de l’humanité. »6 au à Le Pauvre. Nous pouvons donc affirmer qu’il est

la proximité du plus grand des réalistes (ex ungue Napaleonem « par la mâchoire (on reconnaît) Napoléon »), enfin, et ce n'est pas la moindre de ses gloires, un athéisme sincère qu'on rencontre rarement en France, pour ne pas dire presque jamais (...) Peut-être suis-je même jaloux de Stendhal. Il m'a volé le meilleur mot que mon athéisme eût pu trouver : « La seule excuse de Dieu c'est de ne pas exister.»[4],[5] » Dans Le Rouge et le Noir, Julien Sorel fait l'objet d'une étude approfondie. Ambition

et révolutionnaire français, longtemps voué à l'anathème en raison de la part accordée dans son œuvre à l'érotisme, associé à des actes impunis de violence et de cruauté (fustigations, tortures, meurtres, incestes, viols, etc.). L'expression d'un athéisme virulent est l'un des thèmes les plus récurrents de ses écrits. Détenu sous tous les régimes politiques (monarchie, république, consulat, empire), il est resté enfermé — sur plusieurs périodes, pour des raisons et dans des conditions fort diverses