Atheisme

Radicalisation à l'extrême de la critique religieuse ž les Lumières reprennent la critique de la fable et ajoute celle de la religion révélée Deux formes : * Dialogues de Lahontan (attitude religieuse indigne de l'être humain et du bon sens) = athéisme * Rejets des religions révélées, des textes sacrés = religion naturelle = déisme / théisme

moyen pour lui d’arriver à ses fins : « Il ne se sert point d’autres pièges pour attraper les belles. » Il utilise de façon impie l’union sacrée, et ne recule devant rien pour y parvenir : « il aurait encore épousé toi, son chien et son chat. » Son athéisme est donc flagrant.

jamais porté. B) Le portrait de Don Juan Commence par une expression hyperbolique suivi de termes pejoratifs Portrait d'un libertin de pensé, puis evocation de son goût pour les plaisir → Dom Juan modele du libertin accompli. Infidelité + athéisme convergent vers l'absence de respect du sacrement du mariage. Dom Juan ne choisi pas ses conquettes selon leurs categories sociales. Sa méthode est toujours la meme quelque soit la femme. Femme est déhumanisée et est assimilé a un chien, un chat

l'oblige, en le critiquant vivement, mais si maladroitement que le personnage peut garder quelque charme lorsqu'il présentera lui-même sa passion de la conquête amoureuse (acte I, scène 2). C'est Sganarelle aussi qui pousse Dom Juan à avouer son athéisme ou son rationalisme (assimilés par les dévôts) : " je crois que deux et deux sont quatre...". Et surtout qui révélèra au public l'hypocrisie de Dom Juan envers Don Louis, alors qu'elle aurait pu duper le spectateur. C'est pourquoi il aura le dernier

1728 : poursuit ses études à Paris et obtient le bac. 1732 : reçu en maitrise des arts à Paris. 1742 : connaissance avec Rousseau. 1746 : publie les pensées philosophiques, qui est condamné par le parlement de Paris pour son matérialisme et sont athéisme. 1747 : accepte la direction de l'encyclopédie avec d'Alembert. 1751 : premier tome de l'encyclopédie. 1752 : le tome 2 et 3 sont interdit. 1771 : commence à ecrire Jacques le fataliste. Montesquieu (1689-1755) : Il s'appelle Charles Louis

demeure modeste (cela est incompatible avec la conception libertine de l'existence: un mort n' a que faire d'un tel luxe). Ces propos témoignent aussi d'une croyance qui refuse de croire à une vie au-delà de la mort qui se rattache lui-même à son athéisme (Au lieu de croire en Dieu, rappelez-vous, don juan croit que deux et deux font quatre). L'invitation de la statue du commandeur et le geste inattendu accompli par cette statue introduisent L'inquiétante étrangeté,le unheimlich dans la scène

Morey : LibertinePierre Chauderlos de Laclos, Les liaisons dangereuses, Paris, France Loisir, 1982. Liens externes Jean-Pierre Cavaillé (éd.) « Libertinage, libre pensée, irréligion, athéisme Bibliographie (non exhaustive !) des travaux d’historiographie et de critique »Jean-Pierre Cavaillé, « Libertinage, irréligion, incroyance, athéisme dans l’Europe de la première modernité (xvie etxviie siècles) Une approche critique des tendances actuelles de la recherche (1998-2002) »Anne Staquet, Internet et la formation

assistons à l’émergence d’une barbarie issue du cœur même de la « civilisation » contemporaine. Elle n’est pas, comme jadis l’irruption d’une hétérogénéité, mais le résultat de la modernité elle-même : individualisme, relativisme, culte du progrès, athéisme, matérialisme, argent-roi, démesure, tyrannie technologique… À l’origine, le terme barbare — emprunté en 1308 au latin barbarus, lui-même issu du grec ancien βάρϐαρος bárbaros (« étranger ») — était un mot utilisé par les anciens Grecs pour désigner

religieuses – l’État devant rester neutre – et garantit la liberté de culte (les manifestations religieuses devant respecter l’ordre public) ; il affirme parallèlement la liberté de conscience et ne place aucune opinion au-dessus des autres (religion, athéisme, agnosticisme ou libre-pensée), construisant ainsi l’égalité républicaine.

français, romancier et philosophe, longtemps voué à l'anathème en raison de la part accordée dans son œuvre à l'érotisme, associé à des actes impunis de violence et de cruauté (fustigations, tortures, meurtres, incestes, viols, etc.). L'expression d'un athéisme virulent est l'un des thèmes les plus récurrents de ses écrits. Détenu sous tous les régimes politiques (monarchie, république, consulat, empire), il est resté enfermé — en plusieurs fois, pour des raisons et dans des conditions fort diverses