Religion et Spiritualité

de Terre, il donne le bois pour le Feu. AMBIVALENCE : L'Arbre donne la graine ; il est fécond et nourricier (féminin), mais aussi il est fort et se dresse vers le ciel (symbole phallique). SPIRITUALITE : Elévation de l'âme, ascension initiatique, l'Arbre est présent dans les genèses même de toute religion. Il unit les univers chthoniens et ouraniens (échelle) Passerelle entre le ciel et la terre, l’arbre évoque le pilier central qui soutient le Temple de Dieu ou encore l’échelle de Jacob qui relie

vie s’était réfugiée ». Le métal est idolâtré comme un dieu. III. Le dernier moment d’un monstre. Cet avar qui a fait le malheur de sa famille n’a pas la mort d’un chrétien soucieux dans son salut éternelle. Grandet réduit les objets porteur de spiritualité à leur valeur vénal, c’est un sacrilège qui l’apparente au diable « il fit un épouvantable geste pour le saisir ». Sa passion a envahi sont esprit « ses yeux se ranimèrent à la vue de ces objets ». Indifférent à la présence de sa fille « qu’il

Montesquieu et sa vision de la religion dans les lettres Persanes Le dix-huitième siècle que l’on appelle siècle des lumières se caractérise par le questionnement de l’être humain (bonheur et bien être des hommes), l’idée de liberté, d’égalité, de progrès du monde notamment en se débarrassant de : l’irrationalité critique, la superstition et la tyrannie que les institutions religieuses représentaient au temps où la religion d’Etat, le catholicisme, était imposée par l’absolutisme du roi Louis

a autant de beautés qu’il y a de manières habituelles de chercher le bonheur. La philosophie du progrès explique ceci clairement; ainsi, comme il y a eu autant d’idéaux qu’il y a eu pour les peuples de façons de comprendre la morale, l’amour, la religion, etc., le romantisme ne consistera pas dans une exécution parfaite, mais dans une conception analogue à la morale du siècle. C’est parce que quelques-uns l’ont placé dans la perfection du métier que nous avons eu le rococo du romantisme, le plus

J.C., on assiste à un développement rapide du christianisme dans la partie hellénophone de l’empire, puis à Rome. Cependant, si cette religion essaime, elle ne connaîtra une réelle expansion qu’au 3e siècle. Cela dit, cette expansion n’est pas différente de celle des religions orientales (cultes à mystère liée à une spiritualité plus développée que dans la religion ritualiste romaine). Le problème que pose le christianisme, c’est son exclusivisme. Il n’y a qu’un seul Dieu auquel il soit légitime de

de la religion chrétienne, omniprésente durant le 15e siècle en Europe. Ainsi les hommes doivent recevoir le pardon pour leurs péchés avant de pouvoir accéder au paradis : « Dieu en aura plus tôt de vous mercis. » De plus on retrouve l’idée de supériorité de l’âme par rapport au corps physique ; en effet, les corps en état de décomposition peuvent encore s’exprimer. Ainsi dans la Ballade des Pendus, Villon reconnait qu’il s’est trop occupé de son être physique plutôt que de sa spiritualité : « Nous

prend le dessus sur la religion. Les transcendances sont alors considérées comme des illusions. Troisièmement, Luc Ferry s'interresse à la sagesse des anciens. La philosophie de l'Antiquité affirme globalement une relation entre la vie heureuse et l'exigence morale mais aussi une rupture avec le monde religieux. Pour les anciens le réel est un modèle éthique fiable et Dieu n'est rien d'autre que la nature. Cette sagesse ancienne devient donc un idéal et concurrente des religions. Comme l'explique Ferry

Notre époque est marquée par l’émergence d’une liberté qui donne parfois le vertige. En effet, la question du sens de la vie se pose de façon particulièrement crue une fois qu’on a écarté les arguments d’autorité ayant fait la force des grandes religions, en particulier des monothéismes, ces doctrines qui portent en elles l’idée de la transcendance, d’un au-delà, d’un ailleurs hors du monde. Toutefois, notre pensée est imprégnée de science et de logique et plusieurs rebutent à concevoir qu’une réalité

a autant de beautés qu’il y a de manières habituelles de chercher le bonheur. La philosophie du progrès explique ceci clairement; ainsi, comme il y a eu autant d’idéaux qu’il y a eu pour les peuples de façons de comprendre la morale, l’amour, la religion, etc., le romantisme ne consistera pas dans une exécution parfaite, mais dans une conception analogue à la morale du siècle. C’est parce que quelques-uns l’ont placé dans la perfection du métier que nous avons eu le rococo du romantisme, le plus

RELIGION Francesco Forgione, né le 25 mai 1887 à Pietrelcina (Italie). plus connu sous le nom de Padre Pio, capucin et prêtre italien. Il prend le nom de Pio quand il rejoint l'ordre des frères mineurs capucins. Baptisé à l'église Sainte-Anne de Pietrelcina, il mène une jeunesse pieuse, durant laquelle il aurait expérimenté des transes mystiques. Il rejoint l'Ordre des frères mineurs capucins en 1903. Il est ensuite ordonné prêtre à la cathédrale de Bénévent en 1910. Nommé prêtre à Santa Maria