À mort l'arbitre

. Pierre Corneille est né à Rouen le 6 juin 1606, il entame une carrière d’avocat à Rouen. En 1629, un chagrin amoureux le conduit à écrire ses premiers vers, puis sa première comédie, Mélite. Il écrit sa première comédie, Mélite ou les fausses lettres, en 1629. Elle est jouée à Paris en 1630 et est couronnée de succès. Le genre était alors jugé secondaire. Corneille contribua beaucoup à le réhabiliter. Entre 1630 et 1633, il écrit de nouvelles où apparaît un nouveau style de théâtre où les

III-) Une utilisation controversée qui a conduit à son déclin.             L’histoire de la rhétorique, qui finit par se figer en un dogmatisme qui se condamne lui-même à la répétition, est alors celle d’un renversement du pour au contre : née de l’exercice de la liberté politique dans la cité athénienne, elle devient un code des convenances et des bienséances et, sous la forme de la rhétorique panégyrique ou épidictique (rhétorique d’apparat), un exercice de virtuosité gratuite ou de basse flagornerie

Balzac : Le colonel Chabert Biographie de Balzac : Honoré de Balzac est né Balzac à Tours en 1799 et meurt prématurément à Paris en 1850, donc à l'âge de 51 ans. L'ajout de la particule ne se fit qu'en 1836, par Honoré lui-même. Il est envoyé à l'âge de 8 ans chez les orateurs de Vendôme jusqu'en 1813 puis au collège de Tours. Il est inscrit, après le déménagement de sa famille à Paris, au lycée Charlemagne à Paris où il intégra la pension Lepitre puis l'institution de l'Abbé Ganser. En 1816,

Les Omeyyades. Le califat omeyyade ou Umayyade est une dynastie qui gouverne le monde musulman de 661 à 750. Il faut distinguer le califat omeyyade de 661 à 750 qui s’établit de l’atlantique à la vallée de l’Indus, de l’émirat omeyyade fondé en 756 par Abd al-Rahman Ier, et le califat omeyyade d’Al-Andalous en 929. Il faut déjà savoir d’où vient le terme d’omeyyade. Il faut pour cela remonter à la généalogie de Mahomet. Il faut retenir de ce petit arbre généalogique que les descendants du grand-oncle

INSTITUTIONS JURIDICTIONNELLES. INTRODUCTION GENERALE : I- Le concept de Justice : Il y a deux sens au concept de justice : La justice en tant qu’institution c'est-à-dire l’ensemble des institutions qui sont appeler à rendre justice. La justice au sens substantielle est le fait de rendre justice / donner un jugement c'est-à-dire de mettre un terme a un litige. Comment est organisée la justice ? La justice est organisée en juridictions. Juridiction : ce sont les cours et

de déclaration, comme le Japon qui a bombardé la flotte américaine à Pearl Harbour. En outre, en 1945, de nombreux Etats ont déclaré la guerre à l’Allemagne sans avoir l’intention de la faire. Ces derniers, par là, voulaient prouver qu’ils étaient des Etats pacifiques (peace loving state). A la Conférence de Yalta, il était en effet prévu que seuls les Etats pacifiques seraient invités à la Conférence de SF créant les NU et il fallait donc avoir déclaré la guerre à l’Allemagne. La jurisprudence en

subsistance. On peut cependant chercher à dépasser cette dimension contraignante du travail qui, pour être exacte, n'en est pas moins réductrice. On pourra alors s'interroger sur les différentes représentations du travail, sur son rapport à la liberté et au développement de notre conscience mais aussi sur son rôle dans les échanges. A l'horizon de ces questions, apparaît également la notion de technique dont les rapports au travail sont ambivalents. En effet, la technique est à la fois déterminée par la nécessité

Introduction : La puissance d’un pays est caractérisée par plusieurs points : économique, humain, territorial, culturel, géopolitique. C’est la capacité d’un état à exercer une domination sur un autre territoire que le sien et ce sur plusieurs domaines prédéfinis. Un état qui cumule ses domaines est qualifié de superpuissance. Les USA sont les seuls à atteindre ce degré. On les qualifie même d’hyperpuissance, terme formé par le ministre des affaires étrangères H. Vedrine. C’est un terme très connoté du point

aux Essais de Montaigne, à son chapitre architectural sur l’amitié, là où devait se tenir le Discours sur la servitude volontaire de La Boétie, l’Ami. Le chapitre commence par une évocation de « grotesques »[2] composant un cadre. Un cadre vide, car il n’y a pas de Discours, mais les Essais qui devaient le contenir. Pourtant, d’une certaine manière, La Boétie causera beaucoup ; discourir ne peut pas s’arrêter, surtout quand il s’agit d’amitié ou de gloire. Restons-en à l’amitié ; pour la gloire

par les conseils qu'il donne à ses disciples sur la manière de jeûner religieusement (Matth VI, 16), sur la nécessité du jeûne pour chasser un certain démon (Matth,, XVII, 21); et par une déclaration formelle regardant l'avenir (Matth., IX, 15). Saint Paul lui-même, l'adversaire si décidé des oeuvres, pratiquait et louait le jeune (Act. des Ap., XIV, 23; 1 Cor., VII, 5 ;II Cor., VI, 5 ; XI, 27). C'est pourquoi non seulement les Juifs qui devinrent chrétiens continuèrent à jeûner, mais les païens convertis